Que le voilier ait plus d'autonomie qu'un remorqueur je veux bien, mais le 60' était loin d'être au milieu de l'atlantique. Chez Prince de Bretagne, ils avaient bien dégotté un remorqueur au Brésil alors que leur bateau était à 800 milles. Qui plus estgloups a écrit : Les explication de Pyl
http://us12.campaign-archive2.com/?u=1e ... &e=[UNIQID]
Ceci explique cela..
Il devait quand même pouvoir aller chercher un mono à 500 milles des Açores...TSAVLIRIS HELLAS, un navire de plus de 66 mètres habitué à porter secours à des cargos en haute mer.
Le voilier permet d'embarquer des marins aguerris et effectivement ça doit être moins difficile de mettre un semi rigide à l'eau dans le gros temps, mais on a quand même l'impression qu'ils ont attendus la dernière "chance" pour récupérer le bateau avant qu'il ne finisse sur la côte, alors que les conditions étaient pires que près des Açores.
Après je ne sais pas comment se passe le financement de ces opérations, dans les communiqués ils font clairement la distinction entre celles lancées par le propriétaire depuis les Açores, la tentative avortée à la Corogne et le remorqueur en Irlande, et celle de l'assureur.