Forum de Cup In Europe

Holé a écrit : Bidegorry passe la main à Erwan Israël pour cette étape.
Ils ont le droit de faire venir faire des piges à qui ils veulent à tout moment de la course? Étonnant, non?

Les ex-GP sont hyper nombreux dans cette édition!

Dam a écrit : Oserais-je suggérer que si nous avons pensé à tout ça, ils y ont pensé aussi...?

Tiketitan a écrit :Pas de règle concernant les changements dans les équipages je crois.
Pour Erwan Israel, les équipages des deux Diam 24 de Spindrift n'ont pas été dévoilé, d'ailleurs je crois qu'ils n'ont pas encore le 2nd.

Pour les écarts, c'était parfois serré sur la précédente édition :
Partie 1 de l'étape 2 : 1'57'' entre Telefonica 1er et Camper
Partie 2 de l'étape 2 : 52'' entre Groupama 1er et Telefonica 2nd, Camper 3ème à 5'42'' du 1er, les cinq premiers en 10'12''
Partie 1 de l'étape 3 : ADOR 1er, 2nd Puma à 1'16'', 3eme Groupama à 3'24'', 5 bateaux en 8'49''
Etape 5 : Puma vainqueur, Telefonica 2nd à 12'38''
Etape 7 : ADOR vainqueur, 2nd Groupama à 5'27''
Etape 9 : Camper vainqueur, 2nd Groupama à 6'58'', 3ème Puma à 12'48''

jean33 a écrit :

Tiketitan a écrit : ici quand la flotte navigue doubler quelqu'un représente des journées. la précédente édition on a vu groupama traverser toute la flotte par le centre
la j'ai pas vu ca

Tiketitan a écrit :

jean33 a écrit :

Tiketitan a écrit : ici quand la flotte navigue doubler quelqu'un représente des journées. la précédente édition on a vu groupama traverser toute la flotte par le centre
la j'ai pas vu ca

Moi non plus, ce qui ne signifie pas qu'il n'y ait pas eu d'arrivées serrées quand la flotte n'était pas monotype, bien sûr la monotypie favorise les arrivées serrées c'est un fait, puisque le potentiel de vitesse de la flotte est le même quelles que soit les conditions.

Pour ce que tu décris je crois que c'était dans la tempête en arrivant sur Lorient, pour l'instant il n'y a jamais eu ces conditions sur cette édition, plus qu'un énorme gap de vitesse dans la brise, sur cet épisode là je pense que c'est la prise de risque qui a permis cette percée à travers la flotte.

Tiketitan a écrit :
Pour les écarts, c'était parfois serré sur la précédente édition :
Partie 1 de l'étape 2 : 1'57'' entre Telefonica 1er et Camper
Partie 2 de l'étape 2 : 52'' entre Groupama 1er et Telefonica 2nd, Camper 3ème à 5'42'' du 1er, les cinq premiers en 10'12''
Partie 1 de l'étape 3 : ADOR 1er, 2nd Puma à 1'16'', 3eme Groupama à 3'24'', 5 bateaux en 8'49''
Etape 5 : Puma vainqueur, Telefonica 2nd à 12'38''
Etape 7 : ADOR vainqueur, 2nd Groupama à 5'27''
Etape 9 : Camper vainqueur, 2nd Groupama à 6'58'', 3ème Puma à 12'48''

Holé a écrit : Plusieurs choses m'étonnent:
- 1/ OK pour faire tourner l'équipage et intégrer les remplaçants mais, sauf erreur, ni Nelias, ni Israel, ne font partie de la "crew list" titulaire ou remplaçant. Une entraineur de sport co, ne peut pas faire rentrer un joueur s'il n'est pas sur la feuille de match. J'imaginais qu'il y avait une règle une équivalente pour la VOR.
2/ Effectivement Bidégorry à fait un super taff sur un parcours atypique qui ressemblera pas mal à la Leg 4. Casser la dynamique c'est comme même risqué.
3/ Israel, n'est pas engagé sur le Diam 24 de Spindrift pendant que le gros est en chantier...


Edit: maxi Spindrift ne sort qu'en chantier qu'en mai, et Israel est sur le D35 par le Diam 24.

Stokes a écrit :

Tiketitan a écrit : Pour les écarts, c'était parfois serré sur la précédente édition :
Partie 1 de l'étape 2 : 1'57'' entre Telefonica 1er et Camper
Partie 2 de l'étape 2 : 52'' entre Groupama 1er et Telefonica 2nd, Camper 3ème à 5'42'' du 1er, les cinq premiers en 10'12''
Partie 1 de l'étape 3 : ADOR 1er, 2nd Puma à 1'16'', 3eme Groupama à 3'24'', 5 bateaux en 8'49''
Etape 5 : Puma vainqueur, Telefonica 2nd à 12'38''
Etape 7 : ADOR vainqueur, 2nd Groupama à 5'27''
Etape 9 : Camper vainqueur, 2nd Groupama à 6'58'', 3ème Puma à 12'48''

Sur quatre de tes exemple on est quand même sur des étapes pas bien longues (2.2, 1.3, 7 et 9) ou je pense qu'on est en droit d'attendre des écarts modérés dans une flotte compétitive.
Ce qui est impressionnant sur cette édition c'est surtout que la quasi totalité de la flotte arrive assez groupée de manière (pour le moment) systématique. Lors de la dernière édition, sur la première étape on a trois abandons et le 3e rejeté à trois jours. L'arrivée de la cinquième étape est serrée mais on a trois abandons et le 3e qui finit par arriver avec son mat bricolé.