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Donc dans 2 semaines il sera viré par Levet du poste de co-entraîneur...Quant à Thierry Peponnet, il collaborera désormais avec Frabrice Levet (coach du team français) dans l’encadrement de l’équipage et particulièrement de la cellule arrière dans l’analyse des performances et de la concurrence.
Vive la langue de bois
A la lecture des différents articles je pense que c'est vraiment une décision qui vient de Péponnet.eurosport.fr a écrit :Le tacticien du défi Areva Challenge, Thierry Peponnet, a décidé de quitter le bateau français, après un Acte 13 peu convaincant.
A 3 jours du début de la Coupe Louis Vuitton, Thierry Peponnet et le défi Areva Challenge se sont séparés à l'initiative du tacticien. Au delà de cette séparation, on peut légitimement s'interroger sur la pertinence d'une telle décision à quelques encablures de la compétition phare.
Rappel des faits. Début juillet 2006, le défi français, dirigé par Stéphane Kandler (voir notre interview), finit à une piteuse et peu glorieuse 9e place de l'Acte 12, qui se disputait en match-racing et non en flotte comme l'Acte 13. Stéphane Kandler décide alors de revoir la composition de l'équipe. Il se déleste de Marc Bouet, le sailing manager, et remplace Thierry Peponnet par Sébastien Col à la barre. Peponnet intègre la cellule arrière et reste en charge de la tactique. Le moins que l'on puisse dire c'est que cette configuration n'a pas donné satisfaction à Valence durant l'Acte 13, FRA 93 n'arrivant pas à s'adapter aux conditions changeantes du plan d'eau valencien.
Cette défection n'est pas une surprise en soi, tant il apparaît illusoire de croire que les hommes sont interchangeables à la tête du bateau. On imagine mal Thierry Peponnet laisser la barre à Sébastien Col, sans amertume ni colère. Cette redistribution des cartes n'a pas favorisé leur entente, sur terre, comme sur mer. Les deux hommes ne s'en cachaient pas, mais aujourd'hui c'est tout le défi français qui vacille. Dès aujourd'hui, le bateau français va prendre la mer afin de se familiariser avec cette nouvelle cellule arrière, composée de Tanguy Cariou qui prend la place de Thierry Peponnet, et Frédéric Guillemin qui glisse à la stratégie. Un nouvel obstacle qui se dresse devant le défi français, au moment où débute les premières réagtes de match-racing de la Coupe Louis Vuitton, après laquelle il sera toujours temps de prendre ses responsabilités.
Eurosport - Alexandre Walraevens - 13/04/2007 11:18
Sauf erreur de ma part, Fred Guilmin j'ai matché contre lui à Granville il y'a un peu plus de 2 ans, et je crois me souvenir qu'on l'avait battu assez facilement et qu'il avait fini dernier ou avant dernier de la poule.Yoyo a écrit :Frédéric Guillemin qui glisse à la stratégie.
Il c'est peu etre ameliorer depuis au contact des grand...Dam a écrit :Sauf erreur de ma part, Fred Guilmin j'ai matché contre lui à Granville il y'a un peu plus de 2 ans, et je crois me souvenir qu'on l'avait battu assez facilement et qu'il avait fini dernier ou avant dernier de la poule.Yoyo a écrit :Frédéric Guillemin qui glisse à la stratégie.
Le voir dans la cellule arrière d'un défi AC, ça surprend quand même un peu...
oui car la meme ca femme pourra plus rien dire.. Il pourra je suis sur dormir dans la villa de pepo...jb a écrit :allez Dam! présente ta candidature spontanée tu seras peut etre retenu!!!
Justement il parait qu elle va etre dispo incésemment sous peu....gloups a écrit :Il pourra je suis sur dormir dans la villa de pepo...
Cette fois là il était barreur, en tous cas.pain de sucre a écrit :Fred n'est pas un équipier de Mathieu Richard ?
Oui, enfin y'a quand même un gap entre barreur dernier d'une sélective de ligue à Granville et stratégiste demi-finaliste de la LVC. Même à 2 ans d'intervalle.Yoyo a écrit :On peut etre un tres bon strategiste sans forcément etre un grand barreur, non ?
"Autant la première décision avait été un choix de management, autant celle-là, je l'ai prise de mon plein gré", a confirmé Péponnet au quotidien L'Equipe. Cette décision, qu'Areva Challenge n'a pas voulu annoncer officiellement se contentant de nous affirmer qu'il s'agissait "d'un simple épisode dans la vie normale d'une équipe", est la conséquence, selon les explications de l'intéressé, d'un manque de complicité et de connivence en sein de la cellule arrière.
