Publié : 23 mai 2012 10:56
apparemment ca se précise pour tanguy de lamotte
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« Ce n'est pas toujours simple de faire cohabiter vie de famille et vie de marin parce que nous sommes souvent absents et souvent pour longtemps. Nos absences finalement nécessitent de la préparation, comme pour une course. Il faut anticiper tout ce qui peut l'être : expliquer aux enfants, en fonction de leur âge, ce que papa va faire pendant ces semaines, « préparer la maison » pour s'assurer que l'entretien général est bon pour éviter des appels en mer pour me dire que telle ou telle chose ne fonctionne plus, organiser aussi les venues des grands-parents, même s'ils ne sont pas tout proches, pour donner un coup de main à la maman à la maison.
On prévoit du coup le programme annuel longtemps à l'avance. On planifie les moments de repos à l'avance pour être 100% dédiée à la famille sans interview, sans intervention pour les sponsors. Cette année avec le Vendée Globe, l'absence sera de trois mois sans compter les deux-trois semaines précédant le départ. Cela tombe aussi pendant les fêtes de fin d'année, les anniversaires...
« Avec les enfants, notre rapport à la course évolue. On a des responsabilités de père de famille et on ne peut pas prendre les mêmes risques qu'avant. »Quand les enfants sont plus grands, ils sont plus autonomes et comprennent mieux ce que l'on fait. C'est certainement plus dur d'un côté pour eux, ils vivent l'absence différemment. Petits, c'est surtout le départ qui est dur, il gère peut-être mieux l'absence, même si mon dernier qui a un an et demi en fait voir aux autres un peu de toutes les couleurs quand je ne suis pas là, il en profite.
Avec les enfants, notre rapport à la course évolue. On a des responsabilités de père de famille et on ne peut pas prendre les mêmes risques qu'avant. On vit les choses différemment même si cela n'a aucune incidence sur la performance. On joue surtout moins les casse-cou, on prend plus facilement le temps de s'attacher à bord quand les manoeuvres l'exigent par exemple, mais c'est une bonne chose. Finalement on ne va pas moins vite, on évolue juste en toute sécurité.
C'est presque une vie de papa classique en somme. Nos absences sont des périodes particulières, difficiles pour la maman à terre. Il faut être bien entouré. Ça n'a jamais remis en cause mon projet sportif même si je réponds moins à des sollicitations de navigation pendant l'année, je préfère me consacrer à ma famille. Les enfants grandissent vite et ils changent pendant nos absences donc il ne faut pas mettre cela de côté. J'essaye d'être présent avec eux. Je veux en profiter un maximum quand nous sommes ensemble. Je ne suis pas le premier et pas le dernier dans cette situation.
«C'est notre métier, notre sport, c'est ce que l'on aime faire, on est passionnés et personne ne nous a forcés à être là.»Le plus dur, c'est pour ceux qui restent à terre. Ils ne voient pas ce qui se passe à bord. Tous les jours, ils attendent des nouvelles, le classement, parce que, même avec l'habitude, ils savent qu'à tout moment il peut se passer quelque chose. Nous à bord, nous sommes pris par la course, par l'événement, alors oui, nous pensons à notre famille mais nous ne les avons pas tous les jours sur une course comme le Vendée. Cela fait du bien de leur parler de temps en temps mais quand on raccroche on a forcément un petit pincement au coeur et on aimerait, quand les conditions sont difficiles et que le moral n'est pas au beau fixe, être avec eux. Mais la course reprend vite le dessus, c'est notre métier, notre sport, c'est ce que l'on aime faire, on est passionnés et personne ne nous a forcés à être là. »
Pour l'instant rien n'a beaucoup filtre et en plus je vois pas comment il peut avoir des scenes de grand sud s'il n'est plus tout seul...Holé a écrit :Je le sens pas très bien ce film...
Après une rapide recherche google, il semble que le scénario soit basé sur la découverte d'une "jeune sénégalaise cachée à bord du bateau"...
C'est un partenariat DCNS/Gaumont (Com DCNSGroup) : "Le partenariat entre DCNS et Gaumont est très innovant. DCNS est en effet au cœur de l’histoire du film. De plus, le Groupe y bénéficiera d’une visibilité sans précédent."Tiketitan a écrit :Passage à Lorient, ils ont tous adopté les deux hydrogénérateurs pour cette édition.
Pour le film DCNS est à l'eau, toujours aux couleurs de l'ancien sponsor, avec une déco un peu modifiée par rapport à ce que l'on connait : pont rouge...
C'est quelqu’un de connu DDEG?Helmina a écrit :Y en a qui grincent des dents. Voir DDEG and C° chez PYL
Sure? Entonnant de s'alourdir avec matos uniquement pour "faire comme si". Si ça ne permet pas de réduire le poids de gazole, je vois pas l’intérêt.Helmina a écrit :PS. Les hydrogénérateurs, en général, c'est pour faire comme si... en course, ils finissent très vite par shunter le bazar !
Cette phrase là elle a le mérite d'être concrète de chez concret.Helmina a écrit : Boissières : "Pour faire du bateau faut vendre beaucoup de vérandas"