Popov a écrit : À noter que le team manager de Thomson avance le fait que le fait que ce soit le foil tribord qui soit endommagé est un moindre mal puisque selon ses dires la partie restante privilégie le tribord amure et l'utilisation du foil bâbord? Ce qui m'interroge...
moi aussi
je pense qu'il essaie de positiver
Moi je pense qu'ils font de la mousse pour noyer les poissons suiveurs.... qui ne savent plus trop à quel St Hamster se fier. On peut peut-être souffler un peu, ah bé non il accélère. Il est pêté où il est pas pété son truc ? Il ralentit pour faire de la strat ou quoi, ah ben non, il réaccélère. Il est handicapé ou pas, qu'est-ce qu'ils foutent chez Boss, c'est crispant, je continue tout droit ou il me passe dessous... je peux peut-être en profiter pour réparer mon schmilblick, oui, non..., il est peut-être en train de nous b...er en fait, quel plaie ce hamster !
il a perdu 50 milles sur son avance
ca doit pas être de gaité de coeur
La méthode Coué n'a jamais empéché la pluie de tomber
Dam a écrit :
Là ils sont tous au taquet alors je ne pense pas qu'ils aient beaucoup de marge pour accélérer, et comme ils sont en paquet groupé, personne ne va ralentir, soulagé qu'Alex ou Armel ait des problèmes.
me semble assez probable
La méthode Coué n'a jamais empéché la pluie de tomber
Hel a écrit : Je dirais que peut-être un handicap des foilers est qu'il ratissent plus large, avec leurs appendices, donc plus de chance de se prendre des cochonneries (voir le banc de poissons lune sur la NY/Vendée).
plus large mais moins profond que des dérives droites donc au final, la surface de profils mouillés doit être équivalente entre foliers et non-foilers, non?
Sauf si on considère que les OFNI sont plus en surface qu'en profondeur et qu'un foiler allant plus vite, donne moins de chance à une poisson lune de s'écarter de la route...
Dam a écrit :
Là ils sont tous au taquet alors je ne pense pas qu'ils aient beaucoup de marge pour accélérer, et comme ils sont en paquet groupé, personne ne va ralentir, soulagé qu'Alex ou Armel ait des problèmes.
me semble assez probable
Néanmoins, la com pendant un VG, ça reste de la mousse. Et ça fait cogiter. Dans un cas comme ça tous les teams sont au taquet. On lance les spies tous azimuts, on analyse les datas, on sort les calculettes, on interroge les architectes, les spécialistes, on cogite, on suppute... (et la première question cruciale, c'est : est-ce bien une collision ?)
Dam a écrit :
Là ils sont tous au taquet alors je ne pense pas qu'ils aient beaucoup de marge pour accélérer, et comme ils sont en paquet groupé, personne ne va ralentir, soulagé qu'Alex ou Armel ait des problèmes.
me semble assez probable
Néanmoins, la com pendant un VG, ça reste de la mousse. Et ça fait cogiter. Dans un cas comme ça tous les teams sont au taquet. On lance les spies tous azimuts, on analyse les datas, on sort les calculettes, on interroge les architectes, les spécialistes, on cogite, on suppute... (et la première question cruciale, c'est : est-ce bien une collision ?)
ca on le saura bien plus tard....
La méthode Coué n'a jamais empéché la pluie de tomber
Hel a écrit : Je dirais que peut-être un handicap des foilers est qu'il ratissent plus large, avec leurs appendices, donc plus de chance de se prendre des cochonneries (voir le banc de poissons lune sur la NY/Vendée).
plus large mais moins profond que des dérives droites donc au final, la surface de profils mouillés doit être équivalente entre foliers et non-foilers, non? Sauf si on considère que les OFNI sont plus en surface qu'en profondeur et qu'un foiler allant plus vite, donne moins de chance à une poisson lune de s'écarter de la route...
ben oui....
tu poses la question et tu donnes la réponse
La méthode Coué n'a jamais empéché la pluie de tomber
Hel a écrit :
Néanmoins, la com pendant un VG, ça reste de la mousse. Et ça fait cogiter. Dans un cas comme ça tous les teams sont au taquet. On lance les spies tous azimuts, on analyse les datas, on sort les calculettes, on interroge les architectes, les spécialistes, on cogite, on suppute... (et la première question cruciale, c'est : est-ce bien une collision ?)
D'après ce qu'il raconte, son bateau s'est enroulé autour de quelque chose, sur une casse il aurait continuer tout droit je pense.
Hel a écrit :
Néanmoins, la com pendant un VG, ça reste de la mousse. Et ça fait cogiter. Dans un cas comme ça tous les teams sont au taquet. On lance les spies tous azimuts, on analyse les datas, on sort les calculettes, on interroge les architectes, les spécialistes, on cogite, on suppute... (et la première question cruciale, c'est : est-ce bien une collision ?)
D'après ce qu'il raconte, son bateau s'est enroulé autour de quelque chose, sur une casse il aurait continuer tout droit je pense.
C'est ce qu'il a dit ? Je crois que son safran tribord s'est relevé aussi ; ça plus un choc sur le foil (qui est assez excentré), ce n'est pas aberrant que sa route ait pris "quelques" degrés.
Hel a écrit : Je dirais que peut-être un handicap des foilers est qu'il ratissent plus large, avec leurs appendices, donc plus de chance de se prendre des cochonneries (voir le banc de poissons lune sur la NY/Vendée).
plus large mais moins profond que des dérives droites donc au final, la surface de profils mouillés doit être équivalente entre foliers et non-foilers, non? Sauf si on considère que les OFNI sont plus en surface qu'en profondeur et qu'un foiler allant plus vite, donne moins de chance à une poisson lune de s'écarter de la route...
ben oui....
tu poses la question et tu donnes la réponse
seulement je suis pas convaincu avec ces hypothèses.
J'ai l'impression que la météo va obliger la flotte de tête à longer la zone de glace... pas très fun...
« Ce type d'avarie nous fait forcément cogiter et hier j'ai relevé les foils quelques heures quand j'ai appris la nouvelle pour Alex. Mais avec un peu de recul je me suis raisonné car j'étais objectivement déjà un cran en dessous d'Alex dans la manière de mener le bateau. Donc là je suis reparti en exploitant le bateau au maximum de son potentiel » déclarait Sébastien Josse ce soir.
Hel a écrit : Et la vraie révolution suivante serait de les autoriser à rajouter une coque de chaque côté de la première ! (Mais je ne suis pas sûre que la classe soit mûre ? )
Est-ce qu'on réussi un test de retournement sans quille?
Qu'est-qui ratisse le plus large, une quille ou un foil?
Je me suis fait une reflexion semblable, enfaite ces foils transforment indirectement les imoca en ... multicoque. S'ils poursuivent toujours dans ce sens niveau innovation, ils vont finir en catamaran.
Hel a écrit :
Néanmoins, la com pendant un VG, ça reste de la mousse. Et ça fait cogiter. Dans un cas comme ça tous les teams sont au taquet. On lance les spies tous azimuts, on analyse les datas, on sort les calculettes, on interroge les architectes, les spécialistes, on cogite, on suppute... (et la première question cruciale, c'est : est-ce bien une collision ?)
D'après ce qu'il raconte, son bateau s'est enroulé autour de quelque chose, sur une casse il aurait continuer tout droit je pense.
oui, d'après ce qu'il raconte...
La méthode Coué n'a jamais empéché la pluie de tomber
Hel a écrit : Je dirais que peut-être un handicap des foilers est qu'il ratissent plus large, avec leurs appendices, donc plus de chance de se prendre des cochonneries (voir le banc de poissons lune sur la NY/Vendée).
plus large mais moins profond que des dérives droites donc au final, la surface de profils mouillés doit être équivalente entre foliers et non-foilers, non? Sauf si on considère que les OFNI sont plus en surface qu'en profondeur et qu'un foiler allant plus vite, donne moins de chance à une poisson lune de s'écarter de la route...
ben oui....
tu poses la question et tu donnes la réponse
seulement je suis pas convaincu avec ces hypothèses.
pourtant c'est logique
La méthode Coué n'a jamais empéché la pluie de tomber
« Ce type d'avarie nous fait forcément cogiter et hier j'ai relevé les foils quelques heures quand j'ai appris la nouvelle pour Alex. Mais avec un peu de recul je me suis raisonné car j'étais objectivement déjà un cran en dessous d'Alex dans la manière de mener le bateau. Donc là je suis reparti en exploitant le bateau au maximum de son potentiel » déclarait Sébastien Josse ce soir.
comme quoi la vulnérabilité peut etre au dessus du pont
La méthode Coué n'a jamais empéché la pluie de tomber