tentative de record reportée pour quelques heures ou quelques jours, problème de fissures sur un bras de liaison apparent suite à une colision avec une bouée du chenal du port.
Notre Francis va nous réparer cela avec une bonne strat , un cure dent, un tronc d'arbre et un trombone, en esperant qu'il va faire fumer les étraves après pendant sa tentative. :sml0)
Pat the star en léger différé de bikini bottom!!!
Francis Joyon
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Pat the star
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Tiketitan
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Oui c'est bien ça, le communiqué de presse, il est quand même hallucinant ce mec, c'est vraiment du solitaire, il n'a même pas un semi-rigide pour l'assister !
Il était environ 15 heures à New York hier après-midi quand le grand trimaran IDEC II, au louvoyage au plus près des rives de l'Hudson est entré en collision avec une bouée de chenal. Les orages violents accompagnés de pluies diluviennes accompagnaient Francis Joyon depuis son départ de la marina de Gateway à Brooklyn. Sans assistance, le détenteur du tour du monde à la voile en solitaire était seul parvenu à sortir de la marina en utilisant la propulsion de son moteur in board. Record et performance obligent, il lui fallait ensuite démonter son arbre d'hélice avant la ligne de départ située à hauteur de la bouée d'Ambrose au large de l'embouchure de l'Hudson. Joyon choisissait donc de s'amarrer sur un corps mort et de procéder au démontage sous l'eau de son hélice. Après plus d'une dizaine de plongeons dans les eaux noires et froides de l'Hudson, le skipper d'IDEC parvenait à ses fins et se déhalait sous voile pour rejoindre la zone de départ. Le vent attendu au secteur sud était alors et contre toute attente franchement orienté à l'est. Après quelques échanges avec Jean-Yves Bernot, routeur-navigateur depuis la terre, Francis comprenait que la dépression attendue, loin de s'évacuer vers l'est, stagnait sur New-York, compromettant radicalement cette tentative de départ.
Alors qu'il s'apprêtait à faire demi-tour, Francis Joyon, au près sur un clapot virulent et sous des trombes d'eau ne pouvait éviter une des bouées métalliques qui balisent le chenal de l'Hudson. Les carénages des bras de liaison avant et arrière entre la coque centrale et le flotteur bâbord étaient endommagés, nécessitant un travail de stratification. Mais afin de rejoindre la marina de Brooklyn, il fallait préalablement remettre en place sous le bateau l'arbre d'hélice si laborieusement démonté deux heures plus tôt. Francis allait alors se livrer à une manœuvre difficile. Saisissant un bout, toutes voiles affalées, il laissait glisser le géant IDEC sur son erre cap sur la même bouée d'amarrage préalablement utilisée. Arrivé à la hauteur du corps mort, dans les conditions de vent, de pluie et de mer dantesques, Francis se jetait à l'eau, agrippait le corps mort et immobilisait son multicoque ! Il pouvait ensuite réitérer la pénible opération de remontage de son hélice, avant de rejoindre, déçu et harassé, en fin d'après-midi la marina de Brooklyn.
Le plus urgent est dès aujourd'hui de remettre le voilier en état. Christophe Houdet, fidèle compagnon de Francis, qui a présidé en 2007 à la construction du bateau, arrive à New-York chargé des tissus et matériels nécessaires. Au terme de deux jours de travail, le maxi-trimaran IDEC sera de nouveau pleinement opérationnel. La plus grande incertitude plane désormais sur la faisabilité de cette tentative de record. Jean-Yves Bernot observe une nouvelle "fenêtre" potentielle d'ici environ trois jours.
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Yoyo
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Dam
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J'en suis sur le c..Tiketitan a écrit :Oui c'est bien ça, le communiqué de presse, il est quand même hallucinant ce mec, c'est vraiment du solitaire, il n'a même pas un semi-rigide pour l'assister !
Il était environ 15 heures à New York hier après-midi quand le grand trimaran IDEC II, au louvoyage au plus près des rives de l'Hudson est entré en collision avec une bouée de chenal. Les orages violents accompagnés de pluies diluviennes accompagnaient Francis Joyon depuis son départ de la marina de Gateway à Brooklyn. Sans assistance, le détenteur du tour du monde à la voile en solitaire était seul parvenu à sortir de la marina en utilisant la propulsion de son moteur in board. Record et performance obligent, il lui fallait ensuite démonter son arbre d'hélice avant la ligne de départ située à hauteur de la bouée d'Ambrose au large de l'embouchure de l'Hudson. Joyon choisissait donc de s'amarrer sur un corps mort et de procéder au démontage sous l'eau de son hélice. Après plus d'une dizaine de plongeons dans les eaux noires et froides de l'Hudson, le skipper d'IDEC parvenait à ses fins et se déhalait sous voile pour rejoindre la zone de départ. Le vent attendu au secteur sud était alors et contre toute attente franchement orienté à l'est. Après quelques échanges avec Jean-Yves Bernot, routeur-navigateur depuis la terre, Francis comprenait que la dépression attendue, loin de s'évacuer vers l'est, stagnait sur New-York, compromettant radicalement cette tentative de départ.
Alors qu'il s'apprêtait à faire demi-tour, Francis Joyon, au près sur un clapot virulent et sous des trombes d'eau ne pouvait éviter une des bouées métalliques qui balisent le chenal de l'Hudson. Les carénages des bras de liaison avant et arrière entre la coque centrale et le flotteur bâbord étaient endommagés, nécessitant un travail de stratification. Mais afin de rejoindre la marina de Brooklyn, il fallait préalablement remettre en place sous le bateau l'arbre d'hélice si laborieusement démonté deux heures plus tôt. Francis allait alors se livrer à une manœuvre difficile. Saisissant un bout, toutes voiles affalées, il laissait glisser le géant IDEC sur son erre cap sur la même bouée d'amarrage préalablement utilisée. Arrivé à la hauteur du corps mort, dans les conditions de vent, de pluie et de mer dantesques, Francis se jetait à l'eau, agrippait le corps mort et immobilisait son multicoque ! Il pouvait ensuite réitérer la pénible opération de remontage de son hélice, avant de rejoindre, déçu et harassé, en fin d'après-midi la marina de Brooklyn.
Le plus urgent est dès aujourd'hui de remettre le voilier en état. Christophe Houdet, fidèle compagnon de Francis, qui a présidé en 2007 à la construction du bateau, arrive à New-York chargé des tissus et matériels nécessaires. Au terme de deux jours de travail, le maxi-trimaran IDEC sera de nouveau pleinement opérationnel. La plus grande incertitude plane désormais sur la faisabilité de cette tentative de record. Jean-Yves Bernot observe une nouvelle "fenêtre" potentielle d'ici environ trois jours.
Non mais sérieux, sur le TFV ils sont 7 naviguants et ils ont quand-même une équipe à terre chargée de préparer le bateau et de le caréner tous les matins, et le Francis avec son géant il a pas les moyens d'emmener un gars à NY avec lui pour l'aider à sortir du port à démonter son arbre d'hélice???
Est-ce que c'est lui qui en rajoute dans le côté bucheron ou est-ce qu'il a vraiment un budget de laseriste?
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gloups
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Dam, Joyon n'aime pas déranger et n'aime pas avoir une équipe...
Donc il n'a que le minimum..
Mais c'est vrai que je suis sur qu'il aurait quand meme pu trouver un local pour faire ca... Ca manque pas de francais, voileux a NY.. Tien sil y a le mec qui fait du 40' (le poete de douanenez) qui est medecin a NY...
Bref, je pense qu'il en fait un peu trop...
Donc il n'a que le minimum..
Mais c'est vrai que je suis sur qu'il aurait quand meme pu trouver un local pour faire ca... Ca manque pas de francais, voileux a NY.. Tien sil y a le mec qui fait du 40' (le poete de douanenez) qui est medecin a NY...
Bref, je pense qu'il en fait un peu trop...
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gloups
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leloublan
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Dam
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Yoyo
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Sur sports.fr :leloublan a écrit :Avec un systeme antichavirage au top
Joyon en avait il un ????
La violence de la rafale a été telle que le détecteur de gîte, sorte d'alarme anti-chavirage, n'a pas eu le temps de se déclencher. J'ai senti la poussée et j'ai choqué la grand-voile, puis le chariot en grand. Le vent a continué de pousser très violemment et j'ai senti le bateau littéralement catapulté en l'air.
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rafat
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Tiketitan
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Il y a des journalistes qui sont d'accord avec toi Dam 
Le mec maitrise quand même son sujet...
Pour Idec, je ne suis pas sûr que ça marque l'arrêt du sponsoring, le bateau doit être amorti, et le PDG a l'air de tenir à son skipper, je pense que Joyon avait le même mât depuis le début, ça sera l'occasion de le changer.
Sport24Si les secours ont été immédiatement prévenus, il ne devrait pas être rapatrié en urgence mais rester sur la coque renversée d’IDEC en attendant l’arrivée d’un remorqueur pour ramener le trimaran à New York. Une fois à bon port, il s’agira de mesurer l’étendue des dégâts et planifier un nouveau départ.
Le mec maitrise quand même son sujet...
Pour Idec, je ne suis pas sûr que ça marque l'arrêt du sponsoring, le bateau doit être amorti, et le PDG a l'air de tenir à son skipper, je pense que Joyon avait le même mât depuis le début, ça sera l'occasion de le changer.