Vendée Globe 2024/2025

[Tiketitan]

A priori le big boss de BP lui aurait reproposé de reprendre la barre.

[satanas]

oui c'est aussi ce que j'ai lu. j'ai aussi lu qu'avant la "crise" BP lui avait pas proposé aussi un contrat pour 2028?

[leloublan]

Bon si on reprend le debat, on comprend BP de se dire qu'ils ont fait une connerie en renouvellant C.Cremer pour un tour alors qu'elle voulait en 4 ans fonde une famille.. Avec ses doutes, on peut comprendre que vu l'investissement il avait des doutes sur son sa participation au VG. On peut comprendre aussi que comme le dit certain bruit de ponton elle n'etait pas a niveau pour un tel bateau ( mais apres tout en 2020 s'etait pareil non ). Donc on peut comprendre que Le team est voulu se séparer de Cremer pour de vrai raison ( apres il n'etait pas oblige de renouveller et de lui acheter le meilleur bateau) mais la facon de le faire est vraiment nulle, ils auraient du la licencié il y a 9 mois ou avant de lui donnée la barre du bateau et d'en faire une story.
Bref de la merde toute cette com.

donc tant qu 'a faire il pourrait virer le directeur de la com ....???

[Tiketitan]

Banque Pop renonce au VG. Un beau fiasco…
Si il y a un sponsor à l’affut ils peuvent s’offrir le duo skippeuse /imoca avec un beau coup de pub en prime.

[doublemexpress]

Oui, quel gâchis !

https://www.courseaularge.com/vendee-gl ... globe.html

encore rien sur V&V ! ....

Et quel parcours pour en arriver là ! ... même si on ne sait probablement pas tout !

[doublemexpress]

Et en cherchant, j'ai trouvé ce tableau et donc, un bon résumé !

https://www.courseaularge.com/vendee-gl ... ifier.html

[gloups]

Oui peu etre de Cremer me faisait plus l'affaire et qu'elle etait peut etre un peu moins motiver. Mais il le savait depuis longtemps, s'ils l'avait fait propre et preparer ca autour du rhum en dissnat, que vu le contexte ils préféraient qu'elle devienne remplaçante et que Luven soit skipper numéro 1 ca aurait ete mieux.

[leloublan]

Cremer a les compétences qu 'elle a ....elle allait pas changer en 3 mois .Je suis pas assez qualifié
pour dire si oui ou non elle pouvait le faire a satisfaction de son sponsor.

Par contre BP avait les moyens d'éviter ce pataques et ce depuis longtemps...
Soyons clair, la direction écurie course et la com de BP est foireuse autant dans l'affaire Gabart que avec l'affaire Cremer

Il est donc temps pour BP de remettre les compteurs a zéros et de chercher des vrais pros de la com et direction course
Faire table rase et tirer les bons bords....

[doublemexpress]

Cremer, ne plus faire l'affaire ? ? ? ? .... je ne sais pas .....


Je pense surtout que BP a eu peur de rester sur le carreaux/quai par manque de milles de qualification ....

Qu'en terme d'image , ils pensaient leur présence sur la ligne plus importante que la défense de leur "skippeuse"

Qu'ils se sont pris les pieds dans le tapis en faisant d'abord un 180 ... ensuite une 360 ! ....

pour quoi au final ?

Ne quand même pas etre sur cette fichue ligne de départ ! ....

Quelle tristesse ? pas si sur ....

Ou bien alors c'était prémédité et en fait c'est un 720 qu'il nous font en "maquillant" par cette polémique leur simple abandon de cette classe ?

[gattaca]

C'est un peu la le problème, c'est que en tant que partenaire majeur de la voile française et le parcours de crémer, il y avait peu de doutes pour que d'une manière ou d'une autre, elle soit au départ.

C'est pas vraiment la première fois que BP se sépare d'un skipper. Jusqu ici, personne ne voulait se fâcher avec un acteur aussi important. La, ni crémer, ni l organisation du VG n'ont voulut faire profil bas.

Les temps ont changé, on demande aux sportifs de maîtriser leur communication. Par contre le service comm de BP...

[gloups]

C'est un peu la le problème, c'est que en tant que partenaire majeur de la voile française et le parcours de crémer, il y avait peu de doutes pour que d'une manière ou d'une autre, elle soit au départ.

C'est pas vraiment la première fois que BP se sépare d'un skipper. Jusqu ici, personne ne voulait se fâcher avec un acteur aussi important. La, ni crémer, ni l organisation du VG n'ont voulut faire profil bas.

Les temps ont changé, on demande aux sportifs de maîtriser leur communication. Par contre le service comm de BP...

Il avait pris Cremer pour la com, une jeune femme communiquant s'il avait voulu faire apres un VG gagant pourquoi ressigner avec elle , il aurait pu prendre Luven tout de suite non ?
Il ont donc un problème de com et un problème de strategie. ( au derniere nouvelle en multi Le Cleach n'a rien prouvé) S'il avait voulu mieux is aurait pu prendre une des sœurs Metraux.. ( remarquer Sam Davies a t'elle fait mieux que Cremer ?)
A si elle a fini un VG a la 4eme place...

[satanas]

Le premier choix de BP semble dicté par le risque de ne pas avoir de skippeur suite au manque de miles et non a la maternité. Les médias et le public ont fait un raccourci. BP dans sa décision finale a peut être pensé que le meilleur moyen d’en finir avec le buz était d’arrêter d être sur cette course. Au fait quel a été la réponse de CC a l'offre du patron de BP? cela a peut être joué aussi dans le choix final.
enfin joyon et bidégory ont aussi été débarqué par BP

[gloups]

Le premier choix de BP semble dicté par le risque de ne pas avoir de skippeur suite au manque de miles et non a la maternité. Les médias et le public ont fait un raccourci. BP dans sa décision finale a peut être pensé que le meilleur moyen d’en finir avec le buz était d’arrêter d être sur cette course. Au fait quel a été la réponse de CC a l'offre du patron de BP? cela a peut être joué aussi dans le choix final.
enfin joyon et bidégory ont aussi été débarqué par BP

Oui mais tu debarque pas quelq'un apres l'avoir embauche et donnée la barre d'un bateau, tu le fait en amont et en plus ils le savait avant le rhum que ca allait etre chaud.
Si lors du rhum il avait dit: tu va etre trop juste on prefere prendre luven mais on te donne un class 4 pour attendre 4 ans je suis sur que ca auriat pu passer..
oui ils aurait du dire bon Luven est dans les points... mais c'est vrai que ce truc a point pour preparer une course 4 ans avant et que tu doit etre a 100% sur l'eau que tu peut pas etre malade ou enceinte c'est pas des plus simple..

[satanas]

ils pensaient surement qu'ils auraient une invitation et au pire Lunven en réserve (mais quid si lunven avait trouver un autre sponsor ou mis la pression?).
on est d'accord cela ne sont que des supputations et ils ont été nuls en com en ne voyant pas le coup venir.
la conclusion dommage pour le VG et l'imoca et l'image de la voile. J’espère que cela ne changera pas leur implication dans la voile pour les années a venir.

[Tiketitan]

BP aurait proposé le VG 2028 à C.Crémer qui aurait refusé

[gloups]

BP aurait proposé le VG 2028 à C.Crémer qui aurait refusé

Ce qui peut se comprendre.. Elle a eu peur que BP lui relicencie juste. Mais je pense que pour Cremer c'est l'Imoca. Elle va retournée au figaro ou en class 40 mais en plus peu de grand sponsor prendra le risque de la reprendre elle est devenu trop sulfureuse.

[satanas]

la proposition pour 2028 datait d'avant la "crise" de mémoire.
100% d'accord avec toi pour le sponsor

[Battista]

Après une "boulette" pareille de la part de Banque Populaire, je comprends que Clarisse ait refusé poliment, je présume, mais sèchement, la proposition de BP pour un VG en 2028. Maintenant, dire qu'aucun gros sponsor n'accepterait de lui proposer un contrat en IMOCA par-ce-qu'elle serait devenue trop "sulfureuse", je n'y crois pas. Retourner alors en classe 40 ou en circuit Figaro, bof ...

[leloublan]

Télégramme de Brest
Début de l'article ,je suis pas abonné.......


Acheté par le Team Banque Populaire pour Clarisse Crémer en vue du Vendée Globe 2024, le monocoque est aujourd’hui à vendre. Cet Imoca est l’un des plus performants du circuit. Et ça se bouscule déjà pour l’acquérir…
Aucune annonce n’a été publiée mais si on devait la rédiger, elle ressemblerait à peu près à ça : « À vendre Imoca de 2019, plan Guillaume Verdier construit chez CDK Technologies, très performant, vainqueur de la Transat Jacques Vabre 2019 et de la Fastnet Race 2021, n’ayant jamais fait moins bien que deuxième (Vendée Globe 2020 et Route du Rhum 2022),
a terminé toutes les épreuves auxquelles il a participé et n’a jamais abandonné une course en quatre ans. Ce monocoque est l’un des derniers à bénéficier des grands foils, ce qui lui procure un avantage en vitesse à certaines allures : au près, c’est 15 à 20 % de performance en plus ».



Trois bonnes raisons de l’acheter
Depuis la mi-décembre et la passation de barre symbolique entre Charlie Dalin et Clarisse Crémer, le monocoque n’a pas bougé du hangar du Team Banque Populaire à Lorient La Base.

De retour de la Route du Rhum, l’Imoca attendait sa nouvelle décoration. Mais l’annonce de la Banque Populaire de renoncer au Vendée Globe 2024 suite au séisme de l’affaire Crémer a changé la donne. À Paris, les dirigeants du Groupe BPCE ont choisi de vendre le bateau.

Et forcément, cette belle machine intéresse du monde, pour au moins trois raisons :

1. C’est un bateau optimisé, fiabilisé, performant et prêt à courir demain

2. Il ne reste quasiment plus rien sur le marché de l’occasion

3. Il est trop tard pour un candidat au Vendée Globe 2024 de lancer la construction d’un bateau neuf et d’effectuer les milles nécessaires à la qualification derrière.

[Tiketitan]

COMMENT BANQUE POPULAIRE A RENONCÉ À PARTICIPER AU VENDÉE GLOBE

Banque Populaire a annoncé vendredi 17 février son retrait du Vendée Globe 2024, conséquence de « l’affaire Clarisse Crémer ».
D’abord, le rappel des faits : le 2 février, Clarisse Crémer annonce sur ses réseaux sociaux que "Banque Populaire décide de me laisser à quai", décision prise par son sponsor face au risque de voir la navigatrice, en retard dans la course aux milles, à cause de sa maternité, ne pas être sélectionnée pour le Vendée Globe 2024. Le groupe bancaire envoie aussitôt un communiqué de presse puis organise une conférence de presse téléphonique pour donner sa version des faits, regrettant notamment "l’inflexibilité" de la SAEM Vendée face à ses demandes de modifier les règles de sélection ou de promettre la wild card prévue dans l’avis de course à Clarisse Crémer, compte tenu de son cas particulier.

Ces explications ne suffisent pas à enrayer une machine médiatique qui s’emballe alors, occasionnant moult réactions, très majoritairement indignées, à l’encontre de la décision de Banque Populaire, qui avait sans doute mal mesuré la portée d’une telle annonce. Une véritable catastrophe en termes d’image pour « le sponsor de la voile », présent dans cet univers depuis plus de trente ans. Dans les heures et les jours qui suivent le post de Clarisse Crémer, les cellules de crise s’enchaînent au siège parisien de BPCE, au plus haut niveau, puisque c’est Nicolas Namias, président du directoire du groupe, qui s’empare du dossier en direct.

La Fédération Française de Voile, par la voix de son président Jean-Luc Denéchau se fait fort de réunir les différentes parties pour trouver une solution (voir notre article), mais selon nos informations, c’est surtout la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, qui mouille le maillot en appelant au téléphone les protagonistes, sponsor, skipper et organisateur du Vendée Globe.

Une double proposition

Très vite, l’hypothèse de rétropédaler s’impose aux dirigeants de Banque Populaire, seule manière pour eux de sortir de ce bourbier. Ce que nous confirme Alain Leboeuf, président de la SAEM Vendée, qui échange alors avec les deux parties : "J’ai d’abord eu Clarisse pour lui dire que, compte tenu de sa compétence et de son envie d’être sur la ligne de départ, j’étais persuadé qu’elle serait dans les quarante premiers [nombre limite d’inscrits], et qu’en cas de souci de dernière minute, je n’oublierais pas, bien évidemment, la spécificité de sa grossesse [pour l’éventuelle wild card prévue dans l’avis de course, NDLR]. Côté Banque Populaire, j’ai eu monsieur Namias en personne pour lui rappeler combien il était important à mes yeux que Banque Populaire soit au départ, il m’a répondu : « Ne vous inquiétez pas, je prends les choses en main et je vais réintégrer Clarisse. »"

C’est le sens, selon nos informations, des premiers échanges, d’abord téléphoniques, puis, de visu à Lorient, entre le groupe, qui dépêche sur place Benjamin Maitre, responsable sponsoring et mécénat, et Clarisse Crémer. A qui il est proposé de revenir, avec une ouverture vers un projet et un fonctionnement différents. Les deux parties conviennent de se revoir très vite et 48 heures plus tard, toujours à Lorient, c’est cette fois Laurent Buffard, directeur de la communication de Banque Populaire, qui rencontre la navigatrice. Sauf que cette fois, selon l'entourage de la navigatrice, la tonalité a changé et se résume à une réintégration pure et simple dans les mêmes conditions qu’avant le déclenchement de « l’affaire ».

Ce qui change la donne aux yeux de Clarisse Crémer, qui, d'après nos informations, estime que la relation de confiance avec une partie du Team Banque Populaire, mise à mal au cours des mois précédents, n’existe plus et refuse de revenir dans ces conditions. Banque Populaire en prend acte et choisit alors de renoncer au Vendée Globe, seule issue aux yeux du groupe, qui, au regard du contexte, sait que repartir avec un-e autre skipper serait de nouveau s’exposer à de violentes critiques. "Ils se sont dit qu’ils allaient continuer à se faire défoncer", explique l'un des acteurs du dossier.

Clarisse Crémer veut continuer

"C’est un immense gâchis", regrette-t-on au sein du Team Banque Populaire. Et si le groupe BPCE a réaffirmé dans son communiqué son intention de continuer à "accompagner partout en France les clubs, les écoles, les équipes de France de voile et son Team de course au large sur tous les océans du monde", certains ne masquent pas leurs inquiétudes sur l’avenir. Surtout si l’Arkéa Ultim Challenge-Brest se passe mal dans un an pour Armel Le Cléac’h.

En attendant, le team Banque Populaire se retrouve avec un bateau sur les bras, l'ancien Apivia de Charlie Dalin racheté à la mutuelle d'assurances, qui va être soit loué, soit vendu, - y compris éventuellement à Clarisse Crémer -, la décision appartenant au sponsor. Quid de cette dernière ? Selon nos informations, la navigatrice, qui a fermé les écoutilles depuis le déclenchement de l’affaire, n’a pas renoncé à participer au prochain Vendée Globe, travaillant sur un nouveau montage.

Du côté du Vendée Globe enfin, Alain Leboeuf, se dit "vraiment déçu" d’une décision qu’il dit avoir apprise via le communiqué de presse. "J’aurai l’occasion de rappeler Banque Populaire et Clarisse, mais je lui avais dit lors de nos échanges que quoi qu’il arrive, même s’il y avait un autre sponsor qui s’intéressait à elle, je les recevrais, sans aucun souci." Et le président de la Saem d’ajouter, à propos du règlement du Vendée Globe, qu'il a refusé de revoir : "Tout était prévu, c’est d’ailleurs ce que j’ai expliqué à madame la ministre. Je lui ai dit que quand j’avais souhaité qu’il n’y ait plus qu’une seule wild-card, la première hypothèse que j’avais imaginée était celle d’une femme enceinte ; j’avais aussi pensé au cas d’une personne en situation de handicap qui aurait pu avoir un problème de dernière minute. Il faudra peut-être que le règlement soit encore plus clair pour le Vendée Globe 2028, mais on ne peut pas dire que ce n’était pas prévu."