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Débat sur sponsoring et Coupe en France sur l'Equipe TV

Tout ce qui a été dit ailleurs qu'ici...

Messagepar Yoyo » 12 Avr 2006 11:49

ouai mais bon en terme de popularité tu peux pas comparer foot et Cup. pour le foot y'a rien à faire, pour la cup tout est à faire.

y'a pas que sur canal qu'on voit du foot, la preuve c'est que 4 chaines se disputent les droits des diverses competitions.
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Messagepar Yves » 12 Avr 2006 11:52

Pour moi, un bon moyen de rendre les retransmissions palpitantes serait de coller en 18e équipier un journaliste s'y connaissant, voire un consultant et de l'équiper d'un micro et d'un casque HF. Avec les images des caméras on board et un type un peu enthousiaste, on aurait aussi bien que les retransmission du foot et du rugby sur canal qui, il faut bien le dire, sont nettement supérieures à ce qu'on voit ailleurs.
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Messagepar Yoyo » 12 Avr 2006 11:54

c'est vrai que l'experience de loic le bras à bord de k-challenge à marseille etait géniale à entendre ... dommage qu'ils ne fassent pas ça plus souvent.

je me demande s'il ne faut pas demander une autorisation speciale aux umpires car d'apres les regles je crois que toute communication radio d'un ACC en course avec l'exterieur est interdite.
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Messagepar TNZ » 12 Avr 2006 11:55

Si le 18ème homme se met à parler, ça devient chaud :?
Qui se cache derrière le pseudo "TNZ" ? Réponse dans cette petite présentation. Et pour ceux qui veulent voyager depuis leur canapé, il suffit de faire un tour sur mon blog (plus de 350 articles et 2500 photos de 10 pays différents situés sur 4 continents).
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Messagepar Goldeneye » 12 Avr 2006 11:55

Yves a écrit:Pour moi, un bon moyen de rendre les retransmissions palpitantes serait de coller en 18e équipier un journaliste s'y connaissant, voire un consultant et de l'équiper d'un micro et d'un casque HF. Avec les images des caméras on board et un type un peu enthousiaste, on aurait aussi bien que les retransmission du foot et du rugby sur canal qui, il faut bien le dire, sont nettement supérieures à ce qu'on voit ailleurs.

Déposez vos CV ici nous ferons suivre à Canal+ :wink:
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Messagepar rom13 » 12 Avr 2006 12:06

Goldeneye a écrit:
B Troublé: "il n'y a pas de marques d'aliments pour chien sur l'America, le jour où cela arrivera il n'y aura plus Vuitton, Prada..."


Il en parlait parce que cela fait parti des sponsors interdits pour la Cup. En gros les syndicats ne peuvent pas associer le nom "America's Cup" à n'importe quoi - contractuellement, quand ils s'inscrivent officiellement. L'alimentation animale est un des domaines qui est concerné et c'est le plus "parlant"... ce qui veut dire que JP Dick ne pourrait pas aller sur la Coupe avec son sponsor/héritage Virbac. Sauf à s'appeller "Dick Challenge" ce qui serait autorisé mais pas forcément bcp plus classe :lol: :lol: :oops:
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Messagepar Yoyo » 12 Avr 2006 12:08

Virbac n'est pas comparable à Frolic, Virbac c'est surtout des produits vétérinaires. :wink:

c'est un peu nul cette règle, c'est quoi ces vieux jugements de valeurs ?
Dernière édition par Yoyo le 12 Avr 2006 12:09, édité 1 fois.
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Messagepar Goldeneye » 12 Avr 2006 12:09

J'ai un oncle qui appelle tous ses chiens Dick alors je pense que ce n'est pas autorisé :lol: désolé
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Messagepar PAC » 12 Avr 2006 12:10

L'EQUIPE DU JOUR


L’ANNONCE ESTTOMBÉE
il y a tout juste une semaine : en difficulté depuis des mois, le défi français K-Challenge trouvait son salut dans le retour inattenduet tardif d’Areva dans le monde de la Coupe. Un groupe détenu majoritairement
par les pouvoirs publics, déjà présent en 2003 aux côtés du précédent défi, aujourd’hui devenu China Team. Lancée en décembre 2001 au Salon nautique de Paris par Stéphane Kandler, cette équipe de France pour la
32e America en 2007 à Valence, désormais rebaptisée Areva Challenge, ne sera pas parvenue à séduire le gros investisseur privé tant convoité. Elle n’aura donc guère été récompensée pour sa démarche anticipatrice, illustrée par sa devise (« Partir tôt pour aller loin »), et pour ses bons résultats sportifs dans les Actes Louis-Vuitton, obtenus avec de « petits moyens ». S’il ne faut évidemment rien prédire
des performances que pourrait réaliser en 2007 ce syndicat conduit par le
double médaillé olympique en 470, Thierry Péponnet (skipper), on peut
observer qu’il dispose d’un petit budget (plus de 20 millions d’euros) au
regard de la puissance de feu des grosses écuries estimée à plus de
150 millions d’euros (BMW Oracle,
Alinghi, Luna Rossa). L’engament du leader mondial de l’énergie nucléaire (12,5 millions d’euros) permet en tout cas au défi tricolore de lancer la construction de son unique Class America de nouvelle génération suffisamment tôt pour espérer le développer de manière optimale. Et assure la continuité de la présence française dans l’épreuve depuis trente-cinq ans.
Une culturede la course au large
Il n’en demeure pas moins que les candidats à la conquête de l’aiguière d’argent ne se sont pas bousculés dans l’Hexagone, en dépit de l’arrivée de la compétition en Europe et du nouveau format de courses mis en place par les organisateurs suisses. Pourquoi tant
de frilosité de la part des patrons français ?
LaCoupe coûte-t-elle trop cher ?
Est-elle trop éloignée dela culture nautique des Français, fervents amateurs de course au large depuis l’époque Tabarly ?
Son image a-t-elle été ternie par des précédents pas toujours
exemplaires ?
La solution passe-t-elle inévitablement par la venue d’un milliardaire
passionné, dans le sillage lointain du baron Bich ?
Une certitude : le ticket d’entrée atteint aujourd’hui des sommes très
élevées dans le monde du sponsoring sportif qui se rationalise (lire par ailleurs).
On peut aussi penser qu’il y a certainement eu un problème de
timing avec la candidature deParis aux JO 2012, qui a longtemps canalisé
beaucoup d’investissements potentiels.
La bagarre intrafrançaise que se livrèrent dès la fin de la dernière campagne les trois projets alors en lice – l’ex-défi Areva devenu China Team, K- Challenge et Team France du duo Peyron-Pacé – n’a pas non plus contribué à instaurer un climat très serein et propice pour convaincre des décideurs.
La forte culture de la course au large enfin, beaucoup moins onéreuse et génératrice d’un bon retour sur investissement, interpelle également les entreprises. « En France, la Coupe souffre de l’orientation de la voile vers
la course océanique, confirmait Bruno Troublé, présent hier soir sur le plateau deQuestion de sport à L’Équipe TV. Les sponsors veulent aussi des retours immédiats. L’America’s Cup est trop dure à gagner, voilà peut-être la raison.»
Bref, le témoin est entre les mains de l’équipe de Stéphane Kandler : à ellede redresser l’image de la Coupe en France. Le nouveau format proposé par les Suisses (dans l’hypothèse où le vainqueur 2007 le reconduirait) peut aussi dépasser toutes les attentes et casser cette image d’un sport de milliardaires, toujours associée à l’épreuve… à la seule condition que les tycoons cessent de faire grimper les
budgets. Mais, sans leur folie, c’est une grosse partie de la légende de la
Coupe qui disparaîtrait…
PASCAL SIDOINE


edit : mise en forme du texte
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Messagepar Yoyo » 12 Avr 2006 12:10

de toute façon est ce qu'on a le droit de participer à la cup quand on s'appele Dick ? :lol:

désolé ... :oops:

le pauvre, en plus il a du abandonner dans l'ag2r, c'est pas beau de se moquer.
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Messagepar PAC » 12 Avr 2006 12:11

LA SUITE interview de FRÉDÉRIC BOLOTNY *, économiste au Centre de droit et d’économie du sport de Limoges, estime que le ticket d’entrée est très élevé sur la Coupe de l’America.

« L’ère du sponsoring citoyen »

« APRÈS DES MOIS DE RECHERCHES, le salut de K-Challenge est finalement venu du retour d’Areva. Qu’en pensez-vous ? – Il y aurait eu une logique de continuité si le changement de poulain avait été anticipé plus tôt. Là, nous avons le sentiment qu’ils viennent au secours d’une équipe de France qui a obtenu de bons résultats sportifs mais qui se retrouvait en panne faute de trouver un partenaire-titre. Dans une compétition, les éléments de la réussite du sponsoring sont l’anticipation, qui n’est malheureusement pas optimisée ici. Les bons résultats ont peut-être pu jouer dans la décision d’Areva, mais 12,5 millions d’euros pour un an, c’est un investissement très élevé dans le sponsoring sportif, d’autant que sa valorisation double le coût. Il est donc dommage que cela se fasse si tard. – Pourquoi, selon vous, les grandes entreprises françaises boudent-elles cette épreuve ? – En premier lieu à cause du prix, je pense. Nous ne sommes plus à l’époque de la danseuse du président, mais à une époque où le sponsoring est un des outils de la communication et du marketing des entreprises. C’est un secteur où le processus de décision se fait de plus en plus rationnellement. On fait un choix parmi d’autres solutions alternatives. Une fois la décision d’aller dans le sport prise, il reste à en définir l’univers en fonction de différents objectifs. Ensuite, on compare de plus en plus le niveau de retour attendu par rapport aux investissements. – Que représente ce ticket d’entrée (bien en deçà de celui des gros teams dont le budget dépasserait les 200 millions d’euros), dans le monde du sponsoring sportif ? – Entre 150 millions et 200 millions d’euros, en termes de chiffres d’affaires, cela correspond au top 10 des clubs de foot européens les plus riches. Ça fait penser au dérapage des coûts en F 1 mais, en automobile, il y a la présence des constructeurs. Ce que verse Areva est supérieur à la totalité de ce que verse la totalité des sponsors maillot de l’Olympique Lyonnais pour 2006. Si on compare en termes de partenaire- titre, c’est 1,5 à 2 fois plus cher qu’une équipe cycliste pour une saison. C’est 12 fois plus cher qu’un maillot de rugby d’une équipe du Top 14 en haut de tableau. À titre d’information aussi, Adidas, pour être sponsor de la Fédération française de football, paie 13 millions d’euros annuels. C’est donc vraiment un ticket d’entrée très élevé. Surtout que les sommes en question sont mises non pas sur un favori mais pour participer. « Le produit élitiste de moins en moins recherché » – Qu’en est-il par rapport au reste de la voile française ? – Si on compare par rapport aux autres événements voile, une saison en multicoques 60pieds coûte2millions
d’euros (amortissement du bateau compris). Le plus impressionnant est la Transat Jacques-Vabre qui représente un investissement de 700 000 euros à multiplier par deux après valorisation del’événement et déclinaison sur le terrain. D’après une étude de Havas Sport, l’investissement 2005 du sponsoring voile en France représente 80 millions d’euros. – Au-delà de la question financière, d’autres paramètres, comme l’image élitiste de la Coupe, freinent-ils l’engagement des décideurs ? – La Coupe de l’America, comme la voile en général avec la multiplication des courses et des records, manque de lisibilité pour le grand public, même si c’est l’épreuve la plus prestigieuse. Ensuite, concernant l’image élitiste, peut-être que ce type de sponsoring est un peu en dehors du temps. On entre de plus en plus dans l’ère du sponsoring citoyen où l’on essaie de donner plus de sens et de proximité. C’est la tendance de fond. Il s’agit de raconter des histoires et de se positionner en entreprise responsable. À part dans l’industrie du luxe, le produit élitiste est de moins en moins recherché dans le sponsoring sportif. – Le nouveau format de l’America, étalé sur plusieurs années, ne semble pas non plus avoir convaincu ? – Mettre en place un nouveau format ne dope pas forcément l’audience. C’est ce qui s’est passé un moment dans la Ligue des champions de football : trop de matches tuaient l’intérêt. La légitimité d’une épreuve vient de son ancienneté et de l’intérêt sportif qui doit être maximal longtemps. Le but n’est pas d’étendre le calendrier

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Messagepar PAC » 12 Avr 2006 12:11

Le Page :
« C’est vraiment extrême »
Gérard LEPAGE(chargé de mission pour les opérations de sponsoring du Groupe Safran – hautes technologies aéronautique, spatiale et défense –) : « Nous avons considéré que la classe Imoca (monocoques 60pieds) et leVendée Globe correspondaient mieux que la Coupe de l’America à l’image que l’on voulait associer à notre entreprise (elle sponsorise Marc Guillemot). Le Vendée Globe a un parfum d’aventure très supérieur à celui de la Coupe. Dans le domaine de la course en solitaire, il y a aussi la notion de modestie au regard des risques pris, les skippers ne la ramènent pas. Et les moyens restent modestes. Enfin, il y a un petit côté écolo qu’on ne retrouve pas dans la Coupe.
« Quant au volume de retombées, nous avons estimé que le Vendée dispose d’une bonne couverture média, essentiellement sur la France même si on observe une internationalisation. L’America’s Cup apporte un levier intéressant sur l’international mais pour l’instant, notre cible c’est la France. Les retombées, en termes d’équivalent publicitaire, sont à peu près similaires entre la Coupe de l’America et un programme mono 60 pieds mais avec un investissement beaucoup plus important ; c’est dix à vingt fois plus qu’il faut mettre pour un même niveau de retombées en France. Pour une entreprise qui a une cible internationale, c’est plus équilibré...« Par ailleurs, dans l’America’s Cup, il faut huit à dix ans pour espérer faire parler de soi et être compétitif. Pour un groupe comme le nôtre qui démarre le sponsoring nautique, on a préféré commencer dans un autre domaine et avec un budget raisonnable. La Coupe, c’est vraiment extrême. » – P. S.

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Messagepar PAC » 12 Avr 2006 12:12

De Prémorel :
« Une inflation phénoménale »
Jean-François DE PRÉMOREL (membre du directoire du groupe Bénéteau) :
« C’est une épreuve extraordinaire.
Du point de vue technique, il y n’a pas de régate de plus haut niveau au monde. Bénéteau et Jeanneau ont déjà participé à la Coupe, en 1994, notamment, avec Marc Pajot, en collaborant à la construction du bateau. Nous avons beaucoup de respect pour cette compétition. Aujourd’hui, nous avons un regard sur la Coupe par l’intermédiaire de nos architectes qui y collaborent : Daniel Andrieu avec China Team, Jacques Fauroux avec Areva Challenge. Il y a également Bruce Farr, chez BMWOracle, qui collabore avec nous depuis des années. Ça nous permet de suivre l’évolution technique, un aspect qui nous intéresse pour notre industrie. On suit aussi le travail des fournisseurs d’accastillage et des voileries. Nous avons également un partenariat avec Alinghi, à qui nous fournissons une flotte de bateaux d’entraînement, des First Class 7.5. Mais de là à être grand sponsor dans la Coupe, c’est hors de notre portée. On parle de sommes considérables, il y a eu une inflation des budgets phénoménale. Il faut être honnête, mettre son nom sur une coque est inabordable surtout pour un groupe comme le nôtre, qui est déjà mondialement connu dans la plaisance. Quant à la réticence des entreprises, en France, il y a un grand engouement depuis Tabarly pour le solitaire. Avec Jeanneau nous avons vécu une success story extraordinaire avec Fleury-Michon et Philippe Poupon. Certains se disent qu’il vaut mieux un sponsoring français réussi qu’un mauvais sponsoring mondial. » – P. S.

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Messagepar Yoyo » 12 Avr 2006 12:19

interessant .... et déprimant. :cry:

merci PAC.

c'est quand meme effarant de voir que tous ces points de vue sont des conceptions bien franco-françaises, alors que des sponsors comme Emirates, BMW, Iberdrola, TIM, Alice, Toyota, Estrella Dam et j'en passe, sont loin d'etre des marques élitistes.
Dernière édition par Yoyo le 12 Avr 2006 12:31, édité 1 fois.
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Messagepar rom13 » 12 Avr 2006 12:27

même si un peu approximatif sur le chiffrage - entre autres sur les niveaux de sponsoring : dans la Cup pour faire vivre un sponsoring on dépense 1/3 en plus du budget du partenariat (dixit Areva et autres après leur dernier coup), un Transat J Vabre coûte 500 K€ à une équipe en 60' IMOCA pour faire traverser le bateau, le ticket d'entrée pour un partenaire titre est donc + proche de ce montant...
Et puis pour le foot, je pense que c'est à vérifier (un sponsor maillot doit-il rajouter obligatoirement au pot pour être présent sur le terrain où l'équipe joue, ce qui alourdit la donne et remet d'aplomb la comparaison...). Ce qu'il y a d'intéressant, c'est de comparer les montants des tickets d'entrée avec les salaires mensuels des joueurs de foot ou les pilotes de F1...
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Messagepar Yves » 12 Avr 2006 12:40

Yoyo a écrit:
c'est quand meme effarant de voir que tous ces points de vue sont des conceptions bien franco-françaises, alors que des sponsors comme Emirates, BMW, Iberdrola, TIM, Alice, Toyota, Estrella Dam et j'en passe, sont loin d'etre des marques élitistes.


Sauf que ces différents sponsors n'ont pas d'autre choix s'il veulent investir dans la voile. Mettre des sous dans un 60 pieds n'aurait aucun sens pour BMW car ce qu'il veulent, ce sont des retombées à l'internationnal et qui parle du vendée Globe en dehors de la france ???
Pour les entreprise françaises, c'est différent, s'il veulent un bon rapport investissement/retombées en france, il est évident qu'il faut investir dans l'open et pas -pas encore ?- dans la coupe.
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Messagepar PAC » 12 Avr 2006 12:42

Merci Golden pour la mise en page. Il y a une fonction totomatique ou c'est à la mano ?
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Messagepar Goldeneye » 12 Avr 2006 12:45

PAC a écrit:Merci Golden pour la mise en page. Il y a une fonction totomatique ou c'est à la mano ?


C'est à la mano mais en passant par Word c'est plus simple.
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Messagepar PAC » 12 Avr 2006 12:47

Merci chef j'en tiendrai compte à l'avenir pour éviter les gloupseries sur la forme :lol:
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Messagepar superlent » 12 Avr 2006 19:25

Yoyo a écrit:...c'est quand meme effarant de voir que tous ces points de vue sont des conceptions bien franco-françaises, alors que des sponsors comme Emirates, BMW, Iberdrola, TIM, Alice, Toyota, Estrella Dam et j'en passe, sont loin d'etre des marques élitistes.


A propos de ces marques, certaines comme Emirates, BMW, Toyota sont à destination mondiale et fortement impliquées sur le marché anglo-saxon, TIM et Alice sont italiennes, où la course en équipage sur des voiliers de prestige est une tradition (pour eux le must de la voile), Iberdrola et Estrella Dam sont espagnoles, lieu d'implantation de la coupe.

Il n'y a que peu de sociétés françaises de taille mondiale qui ne centrent pas majoritairement leur activité sur la France. En fait, une des seules c'est Total. Mais on se souvient de l'accueil enthousiaste qu'elle a reçu quand elle a envisagé de s'investire dans la voile. Airbus insdustries est plus ou moins de fait dans l'impossibilité de s'impliquer en raison de l'investissement personnel de la famille Kandler. Les autres sociétés, telles Renault, EDF, Air France ont une forte activité sur la France (où une stratégie de sponsoring ACC est sans intéret vu l'absence d'audience) ou sont dans une situation économique et/ou sociale n'autorisant pas d'investir largement dans un sport élitiste. Les dernières sociétés françaises sont déjà impliquées dans d'autres sports.
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