Helmina wrote:Alors ne montons pas sur nos grands chevaux, et tentons de reprendre de la distance. Le bonhomme peut être attachant, mais moi ce que je critique (et la critique n'est pas forcément destructrice !) c'est une partie de la façon de fonctionner d'un chief operations manager. A ce niveau-là, il n'y a pas à "mériter" ou pas "mériter" des allégations ! Un manager peut tout de même supporter qu'on essaye d'analyser sa gouvernance sans avoir besoin d'être défendu par les "copains" !
Je ne pense pas qu'il ait exprimé le besoin d'être défendu. Je ne suis pas un "copain" non plus, mais une relation de travail de longue date et c'est un garçon avec lequel je me suis toujours bien entendu et je ne peux pas en dire autant de tout le monde au sein du Défi (ou autres noms de structure à travers les Cups). Il s'est fait médiateur dans les moments où on ne voulait plus travailler avec eux (mode raz-le-bol) et a réussi à plusieurs reprises à ramener la sérénité.
Helmina wrote:Mais c'est intéressant cette discussion, parce que justement on est en plein dans une des plus grosses difficultés de l'ancien Défi !!! Trop d'affectif, beaucoup trop d'affectif et un verrouillage à l'analyse objective, à la souplesse, à l'ouverture, au mouvement créateur donc, pour lequel je persiste à dire que le Gellusse a une TRES grand part...
On est en plein dans l'affectif ? Pas moi. Pas d'affectif dans le boulot.
Je dis seulement ce que je pense de Luc, comme toi. Nos avis divergent parce que nos expériences divergent. La discussion vient de ce désaccord mais il n'y a rien de passionné dans mon argumentation.