Les acts rendent ils la Coupe moins attrayante ?

[el gringo]

Quand je disais :"tuer la coupe", c'était bien au sens des émotions.

J'ai le sentiment que le niveau des concurrents s'homogénéïse, malgré les différences de budget : bien plus de matchs au couteau dans cet Act, un areva qui tient la marée devant prada, malgré le manque d'entrainement et de budget....

Mascalzone devant alinghi dans un bord...etc

Alors : y a-t-il un réel équilibrage, ou les grosses écuries ont-elles régaté avec le pied sur le frein ? Voilà déjà un 1é sujet à émotion pour la suite

Et assez d'accord sur ce qui a été dit + haut : des coupes à 5-0, pour la rubrique émotion, c'est mieux quand ça se produit tous les 4 ans seulement, voire tous les 10 ans seulement, voire +.

[Dam]

Les trois fois 5-0, à la fin du premier prés la messe était dite

C'est vrai que là c'est un avantage probable du format actuel, on peut supposer que le niveau va s'homogénéiser puisque les adversaires s'étalonneront régulièrement les uns par rapport aux autres, et que donc les matchs seront plus serrés.

[jean33]

c'est aussi un des avantages d'une certaine stabilité dans la jauge :
les vitesses sont de plus en plus proches

[Gros]

Bof, on fait des éliminatoire avec têtes de série: le débat ne s'anime qu'en demi finale.
C'est déjà mieux.

[Dam]

Article lu sur CIE. Il y'est question de la façon dont l'existence des acts influence le programme de développement d'Alinghi.

Maître du calendrier, le Defender suisse est sans aucun doute à un tournant dans sa préparation.

Jusqu'au LV Act 10, la situation restait assez confortable puisque les efforts déployés par les challengers ne semblaient par véritablement menacer un syndicat nettement au dessus de la mélée.

Une situation qui a semblé continuer un temps et, après le match gagné face aux américains du Team BMW Oracle Racing, Jochen Schuemann affichait même une certaine arrogance.

"Nous pouvons dire sans problème que le SUI-75 est toujours compétitif", expliquait alors le barreur allemand. "Nous avons fait une superbe course. Maintenant, c'est aux Américains d'en tirer les conclusions".

Quelques jours plus tard, la situation a radicalement changé et, après avoir été battu par Luna Rossa et très clairement surclassé par les néo-zélandais, c'est finalement sur la dernière marche de la première division que se retrouve Alinghi.

Une situation dont on peut sans peine imaginer qu'elle change la donne pour l'équipe de Ernesto Bertarelli, bien peu habituée à se retrouver dans une telle position.

Alors que le nouveau SUI 91 sera officiellement lancé dimanche prochain, la question est maintenant de savoir si les suisses peuvent encore attendre avant de dévoiler leur jeu.

Principal architecte du Team Alinghi, Rolf Vrolijk ne s'y trompe d'ailleurs pas en expliquant : "Si on veut apprendre quelque chose, c'est la dernière occasion de naviguer en compétition de match-race avant l'America's Cup".

Réponse le 22 juin prochain, pour le début du LV Act 12.

[el gringo]

Article intéressant.
Et un raton laveur.