Forum de Cup In Europe

Holé wrote:

Holé wrote: Peyron il ne devait pas s’arreter à Gijon? Il a changé d’avis ou il galère avec son sextant?

Sur le Télégramme, j’apprends qu’il avait en fait embarqué un GPS et qu’il avait utilisé à 80%.
Je m’amusais à regarder sa trace et observer son atterrage car je trouvais que le délire de la navigation au sextant était intéressant. En fait c’etait juste pour de la com’ avant le départ.... Au moins il a eu l’honnêteté de l’avouer...

gloups wrote:

Holé wrote:

Holé wrote: Peyron il ne devait pas s’arreter à Gijon? Il a changé d’avis ou il galère avec son sextant?

Sur le Télégramme, j’apprends qu’il avait en fait embarqué un GPS et qu’il avait utilisé à 80%.
Je m’amusais à regarder sa trace et observer son atterrage car je trouvais que le délire de la navigation au sextant était intéressant. En fait c’etait juste pour de la com’ avant le départ.... Au moins il a eu l’honnêteté de l’avouer...

oui il l'avoue en dissant que dans le gros temps sle sextant c'est pas ca et sir son ptit jaune ben ben s etait un peu complique.. que sur pen duick 3 pour la transat s 'etait plus simple meme par gros temps..
En gros il veut bien ne pas avoir internet et prendre un seul fichier meteo mais par contre pour la position surtout au large du cap finistere ben le gps c est mieux...
Et je le comprends...

Multihull wrote: Vous avez des sources ? Dans celle ci, ils disent qu'il n'a pas utilisé de GPS : https://www.letelegramme.fr/voile/route ... 143619.php

gloupsl wrote: oui il l'avoue en dissant que dans le gros temps sle sextant c'est pas ca et sir son ptit jaune ben ben s etait un peu complique.. que sur pen duick 3 pour la transat s 'etait plus simple meme par gros temps..

Après la navigation à l'ancienne au sextant, c'est sympa pendant cinq minutes, puis après bon... Au bout du sixième jour, ça me gavait ! C'était sympa car j'avais envie de me retrouver un peu perdu mais pas autant que ça.
© Le Télégramme https://www.letelegramme.fr/voile/pen-d ... 2dfRkgm.99

Le début de course, la baston, ce n’était vraiment pas très drôle. Au cap Finisterre j’en ai pris une grave… enfin, comme tout le monde je pense ! C’était chaud, très chaud. Donc là évidemment tu ne sors pas de ton petit machin. T’appuies sur le bouton du GPS pour voir où tu es et c’est tout. J’ai laissé passer un premier front, je me suis abrité et j’ai doublé Finisterre en imaginant que ça allait mollir un petit peu plus. Mal m’en a pris, parce qu’en fait c’était très, très fort. Bon, c’est passé. Mais c’était limite, limite. Il y avait des chiffres vraiment pas jolis à voir sur les cadrans. C’est aussi pour ça que j’ai utilisé assez peu mon sextant, j’avoue que j’étais un peu moins motivé pour ça que pendant la Transat anglaise mais surtout ça bastonnait d’entrée de jeu et donc c’est moins facile. Je me suis amusé deux ou trois fois (avec le sextant) mais c’est tout