doublemexpress wrote: Il est reparti à son rythme (6 noeud) de croisière ... après une réparation DIY en mer ....
Reste un point en suspend, .... ce DIY a été aidé téléphoniquement par son équipe. --> sujet à déclassement en Chichester Class ou au moins à pénalité !
Pour P.Peche il me semblait qu'il avait été déclassé en Chichester avant même son arrivée au Cap pour avoir appelé sa femme et préparé son arrivée à terre...
Là il semblerait qu'il n'ait q'une pénalité pour la même chose, définitivement bizarre cette course..
doublemexpress wrote: Le reproche (Je pense) fait à p. Peche c'était les appels "de confort" .... lié plus à la solitude qu'à un souci technique !
Mais je ne suis ni jury, ni concurrent ....
Il semblerait que ce soit globalement la même chose qui ait été reprochée au deux marins... Ça fait un peu règlement à la carte leur affaire non ?
La Golden Globe Race a annoncé vendredi 9 novembre une pénalité de 18 h à Jean-Luc Van Den Heede, pour avoir donné un appel satellite à sa femme lundi dernier.
L’organisation de la GGR a pénalisé le skipper sablais, en tête de course, pour avoir appelé par téléphone satellite sa femme lundi 5 novembre, quelques heures après que son navire ait été endommagé.
Selon le règlement de cette course à l’ancienne, il est strictement interdit d’utiliser des moyens techniques modernes à l’instar du satellite.
Alors que les organisateurs souhaitaient descendre VDH en classe Chichester, le navigateur, n’ayant réclamé aucune assistance matérielle lors de l’appel, a demandé de remplacer ce déclassement par une pénalité horaire.
La Golden Globe Race a donc tranché pour une pénalité de 18 h qui permet à Jean-Luc V. Den Heede de rester officiellement dans la course.
Risque de l'organisation.... n'avoir personne à l'arrivée....
Bien que depuis l'entrée sous l'Australie.... ça va mieux coté "psy" ... les abandons sont du à des dematages plutôt qua des manqué de préparation du bateau et/ou du bonhomme !
VDH est arrivé en 212 jours, sans rien enlever à la performance des marins qui sont partis et encore à ceux qui arriveront, j'ai du mal à voir l'intérêt de cette course.
Faire le tour du monde sur ces bateaux sans moyen de communication et sans GPS a été fait il y a 50 ans, en dehors du côté nostalgique de la navigation à l'ancienne, ça envoie les marin sur des coques de noix dans le grand sud (même s'ils sont bien conscients des risques), amenant des situations scabreuses à répétition....
Et le règlement incompréhensible, tu rétrogrades l'un pour un appel, et pour les autres, VDH à sa demande, et pour Slats ça devient une pénalité de temps....
Tiketitan wrote: VDH est arrivé en 212 jours, sans rien enlever à la performance des marins qui sont partis et encore à ceux qui arriveront, j'ai du mal à voir l'intérêt de cette course.
Faire le tour du monde sur ces bateaux sans moyen de communication et sans GPS a été fait il y a 50 ans, en dehors du côté nostalgique de la navigation à l'ancienne, ça envoie les marin sur des coques de noix dans le grand sud (même s'ils sont bien conscients des risques), amenant des situations scabreuses à répétition....
Et le règlement incompréhensible, tu rétrogrades l'un pour un appel, et pour les autres, VDH à sa demande, et pour Slats ça devient une pénalité de temps....
Cette course montre que pour faire un tour du monde l'homme est priimordial, et que l'on peut en faire 1 sans routeur qui te reveil pour changer de voile, qui modifie ton cap quand tu dors, qui te dis comment mené ton bateau au millime de noeud pres. qui t'aide pour faire une reparation ou comem beaucoup maintenant qu abandonne direct...
bref c'est vrai que des fois on a l'impression que on enveait aurour du monde des drome a voile ca serait pareil.
gloups wrote:
Cette course montre que pour faire un tour du monde l'homme est priimordial, et que l'on peut en faire 1 sans routeur qui te reveil pour changer de voile, qui modifie ton cap quand tu dors, qui te dis comment mené ton bateau au millime de noeud pres. qui t'aide pour faire une reparation ou comem beaucoup maintenant qu abandonne direct...
Sans routeur il y a le vendee globe, il y a aussi Joyon qui l’avait fait sur son record autour du monde en 2004.
gloups wrote:
Cette course montre que pour faire un tour du monde l'homme est priimordial, et que l'on peut en faire 1 sans routeur qui te reveil pour changer de voile, qui modifie ton cap quand tu dors, qui te dis comment mené ton bateau au millime de noeud pres. qui t'aide pour faire une reparation ou comem beaucoup maintenant qu abandonne direct...
Sans routeur il y a le vendee globe, il y a aussi Joyon qui l’avait fait sur son record autour du monde en 2004.
Le VG est sans routeur mais vu la puissance des ordi et comme le staff technique a la main sur tout le bateau..Des fois je me demande si le skipper n'ai pas simplement une marionnette pour monte les voile et reparer le bateau ....
Je comprends qu'on puisse etre dubitatif mais je ne peux m'empecher d'être aussi admiratif. C'est un bel hommage au pionners. Un beau yang de ceux pour qui tout parait fluide. Ca me parait être l'essence de la voile hauturière.
A l'heure où les prochains bateaux de la cup et autres F50 ne seront plus autonomes energetiquement ca me parait interessant que certains gardent l'esprtit.
Je n'irai peut-être pas aussi loin que Gloups, mais il est clair que les skippers du vendee ne sont plus vraiment en autonomie ou en solitaire. On peut se poser la question de savoir si on ne devrait pas changer les regles dans un sens ou dans l'autre.
Est-ce que le confinement a pu leur permettre de comprendre la difficulté de l'isolement ?
A ce propos, tout le monde fait fausse route. Les individus ne sont pas spontanément des membres de l’espèce humaine à jour de leur cotisation, Sauf biologiquement. Ils ont besoin d'être projetés de droite et de gauche par le mouvement brownien de la société... [Terry Pratchett]
Même avec la Route du Rhum en cours et plein d'autres courses passionnantes à venir, je prends le temps de suivre la GGR, "course à l'ancienne", sans assistance, sur des bateaux anciens, simples, lourds, et lents. Ils arrivent à parcourir au mieux 160 ou 170 milles par jour dans des conditions favorables.
Bon, sur 16 concurrents au départ des Sables d'Olonne début septembre, dont une femme, ils ne sont plus que 11 en course. Un a abandonné dans le golfe de Gascogne, pour mieux préparer la prochaine édition dans quatre ans. Un autre s'est arrêté aux Canaries pour assister à temps au mariage de sa fille en Afrique du Sud, un autre s'est échoué sur une plage au nord-ouest de Fuerteventura, après avoir passé la porte obligatoire au sud de Lanzarote. Et il y a eu deux abandons à Cape Town suite à des problèmes de régulateur d'allure, dont le français Damien GUILLOU, sponsor PRB. Pourquoi ces concurrents ne continuent-ils pas en catégorie "CHICHESTER" hors classement ? Quel dommage !
La porte de Hobart devra être franchie au plus tard le 31/01/2023, et cela risque d'éliminer de fait encore trois ou quatre concurrents très en retard, encore dans l'Atlantique sud, alors que six ont déjà passé la porte de Cape Town.
En tous cas, respect pour ces marins, dont certains ont justement un âge avancé.
