Forum de Cup In Europe

gloups wrote: Et la les imoca n ont pas envie de casser avant le jour j...

Tiketitan wrote:

gloups wrote: Et la les imoca n ont pas envie de casser avant le jour j...

Ils auront 6 mois pour réparer

gloups wrote:

Tiketitan wrote:

gloups wrote: Et la les imoca n ont pas envie de casser avant le jour j...

Ils auront 6 mois pour réparer

trop long plus assez de préparation. ..
Lors de la dernière transat pen avait falli perdre son bateau....

jean33 wrote:

gloups wrote:

Tiketitan wrote:

gloups wrote: Et la les imoca n ont pas envie de casser avant le jour j...

Ils auront 6 mois pour réparer

trop long plus assez de préparation. ..
Lors de la dernière transat pen avait falli perdre son bateau....

Qui ça ?

Tiketitan wrote:

doublemexpress wrote: OK, je comprends votre déception !

Mais quand je vois les période avec une 50aines de partant .... on peut même pas parler de classes ... les monos sont de 40, 50 et 60 pieds (certains bateaux font plus !) .... même choses pour les multi avec la classe Orma, mais aussi des plans Newick ! ....

Autres temps ... autres mœurs !

C'est la première fois qu'il y aura aussi peu d'IMOCA, avant il y avait 15 à 20 bateaux qui se jaugeaient avant le VG.
Le plateau en Multi se réduit aussi sensiblement avec l'absence de classe structurée, à l'époque de l'ORMA il y avait une classe 60 avec 12 à 15 bateaux.

Le bateau est resté longtemps en chantier cet hiver, dans quel but ?

Le but c’était de gommer les petits bugs de jeunesse que l’on a connus à la Transat Jacques Vabre. On a vu qu’il y avait des problèmes de structures sur tous les bateaux, et on n’y a pas coupé. Après, le but c’était aussi de faire de grosses modifications, que l’on gardera secrètes, et qui ne se voient pas comme ça. En gros on a passé le bateau en version 2, qui sera la version définitive du bateau pour le Vendée Globe.

Sur quoi avez-vous réellement travaillé lors du chantier d’hiver…

On va dire, sur la, stabilité. Je ne veux pas en dire beaucoup plus. Mais il ne s’agit pas que des foils, qui ne représentent qu’un tiers du dossier du bateau. Il y a les ballasts, la quille, les voiles… Tout ne tourne pas autour de la problématique des foils qui sont, c’est vrai notre principal domaine d’interrogation, pour lequel on attend encore des réponses. Nous et les autres équipes.

Avec Banque Populaire vous êtes les plus avancés…

Banque Populaire était au même niveau que nous, il y a encore deux semaines. Mais ils ont cassé leur foil de deuxième génération, et ont été obligés de revenir à ceux de première génération, donc ils ont fait un pas en arrière. Pour en faire deux en avant, certainement plus tard. Nous, on attend les réponses. On a navigué cinq fois, et la Transat va nous amener des certitudes ou des interrogations, que seule une course peut amener. On va dire donc qu’on est les moins en retard, par rapport à des bateaux comme ceux de l’ancienne génération qui ont 8 ans ou plus de développement. Si on arrive à faire les deux prochaines transat (The Transat et New York Les Sables), en faisant des places honorables, sans anicroche, alors-là on pourra dire que l’on a creusé un fossé avec les anciennes générations. Aujourd’hui, on ne peut pas dire ça. Maintenant si un bateau à foils, gagne The Transat, je dirai que la messe est dite.

Vous êtes passé à la 2e génération de foils, quels sont les progrès ?

J’ai de bonnes sensations, mais je n’ai pas pu me mesurer aux autres. Je n’ai pas pu faire le stage à Port-la-Forêt. J’ai hâte de prendre le départ de cette course. Mais on peut dire qu’entre la première et la deuxième génération de foils, il y a un gain de 5-6 % de performance, ce qui est considérable. Mais il faut tester la fiabilité.

Le bateau de Jérémie Beyou, votre voisin de ponton, sera le seul bateau de l’ancienne génération à avoir installé des foils. N’était-ce pas le compromis idéal, en fait ?

Son but c’était de garder les avantages des anciennes générations et de les combiner avec l’ajout de foils. Il y a un trou dans les règles de l’Imoca qui favorise beaucoup les bateaux de l’ancienne jauge passant aux nouvelles technologies. Aujourd’hui un bateau comme Maître CoQ est libre en termes de puissance ! Il a pu renforcer son mât, garder des ballasts importants, un angle de quille important, et rajouter encore de la puissance avec ses foils. Alors que tout ça a été limité et bridé pour nos bateaux, avec un mât monotype et un RM (redressement max) à 25 tonnes par mètre. C’est un pari osé qu’a fait Jérémie… et c’est tout à son honneur.

La Transat New York - Les Sables, normalement plus favorable aux bateaux de nouvelle génération, permettra-t-elle aux masques de tomber ?

Non. Moi je pense que The Transat permettra déjà de voir. Il y a un plateau de haut niveau. Il y a les deux bateaux premiers de la Jacques Vabre, celui qui a gagné le Vendée Globe… Tout est là. Je ne dis pas que les autres ne comptent pas. Mais si un bateau à foil battait un de ces deux autres bateaux, alors on pourrait être plus que rassuré sur notre choix.

Holé wrote: Quelle purge cette cartographie !

Hel wrote:

Holé wrote: Quelle purge cette cartographie !

Tu as aussi celle-ci pour les ultimes :
http://thetransat-sodebo.addviso.org/fr/

gloups wrote: Actuel va bien il est devant les multi 50.. de pas grand chose mais il est enfin en rer..

Au sur c est vrai il n est pas en cri mais sur un 100 ...

jean33 wrote: je viens de regarder
josse ne me semble pas si mal que ca...

victor wrote:
Bref, si on met de côté cette heure là, pour moi il va un poil plus vite que les autres