pour en revenir à l'ORMA, ce sont des machines formidables mais je pense qu'elles sont faites pour les Grand Prix.
Avec la création du circuit des GP par Rotschild, c'est peut etre l'occasion de se demander si il ne faudrait pas réserver les courses au large à une autre classe de bateau, comme par exemple des trimarans semblables à Castorama, qui seraient veritablement conçus pour la course au large en solo.
Classe ORMA
-
Yoyo
- Challenger of Record
- Posts: 7280
- Joined: 15 Dec 2005 19:44
- Location: Angoulême
Communiqué de presse daté d'hier sur le site officiel de Foncia : http://www.trimaran-foncia.fr/cgi-bin/d ... actualites
-
Yoyo
- Challenger of Record
- Posts: 7280
- Joined: 15 Dec 2005 19:44
- Location: Angoulême
Qques précisions dans une itv d'Armel sur sports.fr : http://sports.fr/fr/cmc/voile/20065/cmc_85204.html
Foncia ne l'abandonne pas totalement non plus, ils ont proposé de l'aider pour l'AG2R, c'est deja ça.
Foncia ne l'abandonne pas totalement non plus, ils ont proposé de l'aider pour l'AG2R, c'est deja ça.
-
Yoyo
- Challenger of Record
- Posts: 7280
- Joined: 15 Dec 2005 19:44
- Location: Angoulême
SeaSailSurf reprend l'idée d'une classe différente pour les regates offshore parmi d'autres hypothèses : http://www.pipof.com/seasailsurf/actu/a ... ticle=3898
-
gloups
- Stratifieur/Ponceur
- Posts: 6665
- Joined: 15 Dec 2005 18:17
- Location: Ici et ailleurs
le retour de peyron comme .......................... directeur de gitana
http://www.adonnante.com/article/4878/Gitana-Power-Team
http://www.adonnante.com/article/4878/Gitana-Power-Team
-
TNZ
- Comité de Course
- Posts: 1528
- Joined: 15 Dec 2005 07:39
- Location: Lyon
- Contact:
Ca fait longtemps que tout le monde le sait, ne vous battez pas pour ça 
Qui se cache derrière le pseudo "TNZ" ? Réponse dans cette petite présentation. Et pour ceux qui veulent voyager depuis leur canapé, il suffit de faire un tour sur mon blog (plus de 350 articles et 2500 photos de 10 pays différents situés sur 4 continents).
-
Yoyo
- Challenger of Record
- Posts: 7280
- Joined: 15 Dec 2005 19:44
- Location: Angoulême
Un article de seasailsurf à propos de la Nokia Oops Cup qui demarre bientot avec seulement 3 equipes au départ, avec une conclusion un peu alarmiste mais pas forcément exagérée
http://seasailsurf.com/seasailsurf/actu ... ticle=4013
http://seasailsurf.com/seasailsurf/actu ... ticle=4013
-
Ettorival
- Apprenti
- Posts: 48
- Joined: 02 Jun 2006 09:18
- Location: Vannes - Lorient - Brest
- Contact:
3 bateaux c'est une conséquence de ce qu'il se passe en France, comme l'indique l'article... Entre la casse française et donc la récupération de certains bateaux et la mise au rencart définitive de certains (l'ex Pierre 1er a navigué sur ce circuit jusq'uen 2004 !!Yoyo wrote:Un article de seasailsurf à propos de la Nokia Oops Cup qui demarre bientot avec seulement 3 equipes au départ, avec une conclusion un peu alarmiste mais pas forcément exagérée
http://seasailsurf.com/seasailsurf/actu ... ticle=4013
) le nombre faible de bateaux s'explique essentiellement par le manque de disponibilité.Quant à la réunion des 2 circuits, elle est sur les tablettes depuis quelques années déjà et pourrait bien devenir réalité un jour...
-
gloups
- Stratifieur/Ponceur
- Posts: 6665
- Joined: 15 Dec 2005 18:17
- Location: Ici et ailleurs
C'est sur, il ne reste plus beaucoup de tri inutilisé, car entre le rhum de 2002 et la derniere jacques vabre, le nombre de vieux tri a degringolé considerablement, et comme l'evolution n'est pas a a construction de 60' mais au 100' pour des records ( on peut etre a terme une classe de 100 pour le rhome 2010 non ) apres tout le rhum etait une course not limit pour permette au grand bateau interdit de transat de faire une course....
-
PAC
- Grand-Voile
- Posts: 857
- Joined: 16 Dec 2005 13:03
- Location: Sur les mers virtuelles
L'equipe du jour ( je vous laisse le metter dans le bon thread si vous trouvez mal placé)
Bonne lecture
DANS LES CHANTIERS navals, aujourd’hui, on ne construit plus que deux catégories de bateaux de course :
des monocoques 60 pieds (18,28 m) pour le prochain Vendée Globe, dont le niveau s’annonce exceptionnel
(départ le 9 novembre 2008), et des grands multicoques (30 mètres de long au minimum...), les chasseurs de
records, en solo ou en équipage. Le 3 mai, Banque Populaire annonçait un multi géant pour Pascal Bidegorry : objectif, le Trophée Jules-Verne, le record absolu autour du monde en équipage (1). Le 9, Francis Joyon dévoilait la mise en chantier d’un nouveau trimaran IDEC pour tenter de reprendre à Ellen MacArthur le record du tour du monde en solo (2). Le 29, c’est Alain Thébaut qui multipliait comme des petits pains les « Hydroptères » (le fameux « bateau volant ») avec la révélation d’un « maxi-Hydroptère » de 30 mètres. Le lendemain, Thomas Coville dévoilait son projet de grand
trimaran Sodeb’O pour les campagnes de records en solitaire. Demain enfin, à Vannes, Franck Cammas mettra à
l’eau Groupama III, trimaran G-Class de 32 mètres de long sur le modèle de son 60 pieds, pour lui aussi viser
bientôt le Jules-Verne.
Impossible de barrer plus de deux heures
À Olivier de Kersauson, actuellement en mer sur Geronimo contre le record de la TransPacifique entre Yokohama
et San Francisco (dans une campagne australe et asiatique, il est en train de remettre au goût du jour quelques
vieux temps de références), onprête un projet encore plus fou : untrimaran gréé en goélettede…44 mètres !Quant
à Loïck Peyron, nouveau membre du Gitana Team du baron Benjamin de Rothschild, il a repris l’Orange I de son
frère aîné, qui lui accorde encore du potentiel. Enfin, dernier multi géant et non des moindres, Orange II
est actuellement aux États-Unis. Deux ans après avoir échoué de 31 minutes seulement contre le monstrueux
chrono de Steve Fossett avec Playstation (4 j. 17 h 28’6’’ pour traverser l’Atlantique), Peyron a décidé de remettre
cela. Avec le Trophée Jules-Verne et la plus grande distance parcourue en vingt-quatre heures (706,2 milles,
soit 1 308 kilomètres), Orange II détiendrait alors une triple couronne, les trois plus grands records de vitesse à
la voile. Position enviable avant la grande offensive qui promet lors des deux prochains hivers. « Le bateau en est
capable, nous sommes plus rapides que Playstation », affirme le skipper. Il y a encore quelques jours, le catamaran géant de 37 mètres de long croisait en baie de New York, grandvoile haute de 470 m2 au milieu des ferries et des supercargos. De quoi attirer l’attention… y compris celle des gardes-côtes en patrouille le long de l’Hudson River. Il est désormais en stand-by à Newport et allégé au maximum. « Nous partirons sans doute à dix équipiers (deux quarts de cinq hommes), estime Bruno Peyron qui, à bord, partagera la navigation avec le Suédois Roger Nilsson. Il nous faut aussi deux barreurs par quart pour se relayer : le bateau est tellement puissant qu’il est devenu impossible
de le barrer deux heures d’affilée. Dix hommes c’est peu, mais de toute façon le record del’Atlantique c’est duFigaro maintenant : quatre jours et demi à fond ! » Constam-ment à 30 noeuds au moins pour espérer tenir une moyenne victorieuse de 26 sur la route directe. Quant à l’équipage, il est en cours de finalisation : le timing qui convient au calendrier de chacun est presque aussi difficile à trouver que la bonne fenêtre météo pour partir : « La priorité va à ceux qui étaient à bord pour le Trophée Jules-Verne, explique Peyron. Le problème est
que, depuis ce record, les gars sont très demandés. C’est normal, ils le méritent. »
Une confiance qui permet d’attaquer
La garde-robe du bateau a aussi été revue : « Nous avons fait porter l’effort sur " des voiles de record ", résume le
skipper : trois gennakers neufs et une trinquette de portant. Pour le reste, le travail de l’hiver a surtout consisté à
fiabiliser le bateau plutôt que de le faire évoluer. Nous avons tout désossé, vérifié, changé quand il le fallait,
comme un gréement neuf complet par exemple. La question n’est pas de gagner un demi-noeud au portant mais
de se dire que lorsqu’on est à fond – et c’est déjà à 38 noeuds ! – ça tient. » Depuis la précédente tentative contre le record, l’eau a aussi coulé sous les immenses étraves d’Orange II. L’expérience acquise représente presque le principal progrès. « Quand nous sommes partis en 2004, raconte Bruno Peyron, nous ne connaissions pas grand-chose du potentiel du " bébé ", c’est en route que nous avons découvert avec surprise toute son étendue : nous nous sommes
retrouvés avec une espèce de bombe dans les mains ! Depuis, l’expérience du tour du monde a été très profitable,
nous y avons beaucoup appris sur le bateau en nous retrouvant dans des conditions extrêmes en situation de
surpuissance. Cela signifie qu’aujourd’hui il y a un niveau de connaissance et de confiance des hommes dans le
bateau qui permet d’attaquer. » Quatre jours à venir qui promettent de ne pas être « tristes »…
Il ne reste plus à l’équipe d’Orange II qu’à surveiller la météo prochaine, avec cette donnée nouvelle : moins de
cinq jours de traversée désormais permettent de la prévoir presque exactement jusqu’au cap Lizard ; l’incertitude
qui, au moment de s’élancer, régnait encore sur les conditions à l’arrivée a disparu aujourd’hui avec ces
grands bateaux. « C’est vrai, admet Bruno Peyron. Le jeu est un peu devenu différent. Pendant des années, le fantasme
a été de traverser l’Atlantique en profitant du même système dépressionnaire du départ à l’arrivée. Avec les G-Class, nous allons maintenant plus vite que les dépressions ; on les largue ! C’est l’une des raisons de notre échec en 2004 :à Ambrose (phare marquant la ligne de départ, au large de Newport), nous avions 25 nœuds de vent " dans le cul ". J’ai dit : " On y va ! " Six heures plus tard, nous nous sommes retrouvés sans rien, nous avions déjà dépassé la dépression… J’étais parti deux bonnes heures trop tôt.
Bonne lecture
DANS LES CHANTIERS navals, aujourd’hui, on ne construit plus que deux catégories de bateaux de course :
des monocoques 60 pieds (18,28 m) pour le prochain Vendée Globe, dont le niveau s’annonce exceptionnel
(départ le 9 novembre 2008), et des grands multicoques (30 mètres de long au minimum...), les chasseurs de
records, en solo ou en équipage. Le 3 mai, Banque Populaire annonçait un multi géant pour Pascal Bidegorry : objectif, le Trophée Jules-Verne, le record absolu autour du monde en équipage (1). Le 9, Francis Joyon dévoilait la mise en chantier d’un nouveau trimaran IDEC pour tenter de reprendre à Ellen MacArthur le record du tour du monde en solo (2). Le 29, c’est Alain Thébaut qui multipliait comme des petits pains les « Hydroptères » (le fameux « bateau volant ») avec la révélation d’un « maxi-Hydroptère » de 30 mètres. Le lendemain, Thomas Coville dévoilait son projet de grand
trimaran Sodeb’O pour les campagnes de records en solitaire. Demain enfin, à Vannes, Franck Cammas mettra à
l’eau Groupama III, trimaran G-Class de 32 mètres de long sur le modèle de son 60 pieds, pour lui aussi viser
bientôt le Jules-Verne.
Impossible de barrer plus de deux heures
À Olivier de Kersauson, actuellement en mer sur Geronimo contre le record de la TransPacifique entre Yokohama
et San Francisco (dans une campagne australe et asiatique, il est en train de remettre au goût du jour quelques
vieux temps de références), onprête un projet encore plus fou : untrimaran gréé en goélettede…44 mètres !Quant
à Loïck Peyron, nouveau membre du Gitana Team du baron Benjamin de Rothschild, il a repris l’Orange I de son
frère aîné, qui lui accorde encore du potentiel. Enfin, dernier multi géant et non des moindres, Orange II
est actuellement aux États-Unis. Deux ans après avoir échoué de 31 minutes seulement contre le monstrueux
chrono de Steve Fossett avec Playstation (4 j. 17 h 28’6’’ pour traverser l’Atlantique), Peyron a décidé de remettre
cela. Avec le Trophée Jules-Verne et la plus grande distance parcourue en vingt-quatre heures (706,2 milles,
soit 1 308 kilomètres), Orange II détiendrait alors une triple couronne, les trois plus grands records de vitesse à
la voile. Position enviable avant la grande offensive qui promet lors des deux prochains hivers. « Le bateau en est
capable, nous sommes plus rapides que Playstation », affirme le skipper. Il y a encore quelques jours, le catamaran géant de 37 mètres de long croisait en baie de New York, grandvoile haute de 470 m2 au milieu des ferries et des supercargos. De quoi attirer l’attention… y compris celle des gardes-côtes en patrouille le long de l’Hudson River. Il est désormais en stand-by à Newport et allégé au maximum. « Nous partirons sans doute à dix équipiers (deux quarts de cinq hommes), estime Bruno Peyron qui, à bord, partagera la navigation avec le Suédois Roger Nilsson. Il nous faut aussi deux barreurs par quart pour se relayer : le bateau est tellement puissant qu’il est devenu impossible
de le barrer deux heures d’affilée. Dix hommes c’est peu, mais de toute façon le record del’Atlantique c’est duFigaro maintenant : quatre jours et demi à fond ! » Constam-ment à 30 noeuds au moins pour espérer tenir une moyenne victorieuse de 26 sur la route directe. Quant à l’équipage, il est en cours de finalisation : le timing qui convient au calendrier de chacun est presque aussi difficile à trouver que la bonne fenêtre météo pour partir : « La priorité va à ceux qui étaient à bord pour le Trophée Jules-Verne, explique Peyron. Le problème est
que, depuis ce record, les gars sont très demandés. C’est normal, ils le méritent. »
Une confiance qui permet d’attaquer
La garde-robe du bateau a aussi été revue : « Nous avons fait porter l’effort sur " des voiles de record ", résume le
skipper : trois gennakers neufs et une trinquette de portant. Pour le reste, le travail de l’hiver a surtout consisté à
fiabiliser le bateau plutôt que de le faire évoluer. Nous avons tout désossé, vérifié, changé quand il le fallait,
comme un gréement neuf complet par exemple. La question n’est pas de gagner un demi-noeud au portant mais
de se dire que lorsqu’on est à fond – et c’est déjà à 38 noeuds ! – ça tient. » Depuis la précédente tentative contre le record, l’eau a aussi coulé sous les immenses étraves d’Orange II. L’expérience acquise représente presque le principal progrès. « Quand nous sommes partis en 2004, raconte Bruno Peyron, nous ne connaissions pas grand-chose du potentiel du " bébé ", c’est en route que nous avons découvert avec surprise toute son étendue : nous nous sommes
retrouvés avec une espèce de bombe dans les mains ! Depuis, l’expérience du tour du monde a été très profitable,
nous y avons beaucoup appris sur le bateau en nous retrouvant dans des conditions extrêmes en situation de
surpuissance. Cela signifie qu’aujourd’hui il y a un niveau de connaissance et de confiance des hommes dans le
bateau qui permet d’attaquer. » Quatre jours à venir qui promettent de ne pas être « tristes »…
Il ne reste plus à l’équipe d’Orange II qu’à surveiller la météo prochaine, avec cette donnée nouvelle : moins de
cinq jours de traversée désormais permettent de la prévoir presque exactement jusqu’au cap Lizard ; l’incertitude
qui, au moment de s’élancer, régnait encore sur les conditions à l’arrivée a disparu aujourd’hui avec ces
grands bateaux. « C’est vrai, admet Bruno Peyron. Le jeu est un peu devenu différent. Pendant des années, le fantasme
a été de traverser l’Atlantique en profitant du même système dépressionnaire du départ à l’arrivée. Avec les G-Class, nous allons maintenant plus vite que les dépressions ; on les largue ! C’est l’une des raisons de notre échec en 2004 :à Ambrose (phare marquant la ligne de départ, au large de Newport), nous avions 25 nœuds de vent " dans le cul ". J’ai dit : " On y va ! " Six heures plus tard, nous nous sommes retrouvés sans rien, nous avions déjà dépassé la dépression… J’étais parti deux bonnes heures trop tôt.
-
gloups
- Stratifieur/Ponceur
- Posts: 6665
- Joined: 15 Dec 2005 18:17
- Location: Ici et ailleurs
Que de bonne chose dans cette article...
ODK, un bateau de 40m goelette ( il veut atteindre la taille de son ex-copain colas)..
Ce que j'aime dasn cette nouvelle mode c'est le retour de la demesure comme dans les années 70, on repart sur des bateau geant avec plein de reve a la clef....
C'est assez fou, ce cote plus rapide que la meteo, et j'imagine meme pas l'impression de vitesse sur un pond d'un tel engin.. Deja qu'a 30 noeud a l'arriere d'un NGV pour la corse, on a deja du vent dans les cheveux, alors que l'on est proteger. S'imagine mal a 35noeud au ras de l'eau, avec un vent apparent de folie...
ODK, un bateau de 40m goelette ( il veut atteindre la taille de son ex-copain colas)..
Ce que j'aime dasn cette nouvelle mode c'est le retour de la demesure comme dans les années 70, on repart sur des bateau geant avec plein de reve a la clef....
C'est assez fou, ce cote plus rapide que la meteo, et j'imagine meme pas l'impression de vitesse sur un pond d'un tel engin.. Deja qu'a 30 noeud a l'arriere d'un NGV pour la corse, on a deja du vent dans les cheveux, alors que l'on est proteger. S'imagine mal a 35noeud au ras de l'eau, avec un vent apparent de folie...
-
Tiketitan
- Barreur
- Posts: 4709
- Joined: 16 Dec 2005 17:47
le retour aux années 80 ce n'est peut etre pas la meilleure solution, la classe ORMA a été crée pour limiter la démesure et l'augmentation des couts, autour de 1985, il y avait des grands prix en maxis catas et les courses au large en équipage et solitaire.ca a marché pendant quelques années, mais il n'y a pas eu beaucoup de survivants, les bateaux coutaient trop chers, à mon avis un ORMA coute moins cher à la construction qu'un maxi, parès du point de vue du budget de fonctionnement si ils mettent en place des courses plus les records ca coutera aussi cher voir plus parce que les bateaux iront encore plus loin